ARP Avocats : Clémence Appriou, Marine Ruta et Alexandre Pabis ouvrent leur boutique spécialisée en droit pénal

 Pour Clémence Appriou, Marine Ruta et Alexandre Pabis, la création d'APR Avocats relevait de l’évidence. Selon ces trois pénalistes passionnés de droit, “vocation est le bon mot”.

Passion et complémentarité

Clémence Appriou, Marine Ruta et Alexandre Pabis se sont rencontrés chez Gutkès Avocats, où ils démarrent leur carrière. Là-bas, ils reçoivent la même formation, “rigoureuse et de qualité”, et ont déjà à l’esprit l’idée de créer un jour leur propre boutique. Les trois avocats, complémentaires, partagent la même vision du métier et après quelques années d’exercice (onze pour Clémence Appriou, huit pour Marine Ruta et cinq pour Alexandre Pabis), ils sautent le pas.  

Si les associés interviennent principalement en droit pénal des affaires, une part importante de leur activité reste consacrée au droit pénal général : “Nous sommes des pénalistes avant d’être des affairistes”, affirment-ils.

Droit pénal financier, droit pénal du travail, droit pénal de la santé, risques industriels, droit pénal du marché de l’art, corruption et atteinte à la probité, droit pénal de la famille : le cabinet couvre de nombreux domaines de la matière pénale. Et propose un accompagnement tant en défense qu’en représentation de la partie civile devant les tribunaux correctionnels ou les cours d’assises.

Clémence Appriou, Marine Ruta et Alexandre Pabis mettent un point d’honneur à privilégier l’humain : “ En droit pénal, nous entrons dans l’intimité des clients, c’est pourquoi nous développons avec eux une relation de confiance.” 

Côté clientèle, ARP peut voir grand. “Notre expérience nous a permis d’acquérir une certaine aisance sur des dossiers complexes avec des enjeux importants, ce qui nous permet aujourd’hui d’être parfaitement en mesure de conseiller des entreprises et des dirigeants de grands groupes”, affirment les associés.

Avec le dynamisme de la jeunesse, les fondateurs d’ARP attirent des start-up et de jeunes entreprises, avec qui ils parlent le même langage. Ils conseillent également des personnes physiques françaises et étrangères.

Alexandre Pabis, qui a la double nationalité franco-polonaise et qui figure sur la liste des avocats de l’ambassade de Pologne à Paris, compte de nombreux clients polonais.

Les associés souhaitent développer l’ouverture internationale du cabinet. Autre ambition : ils envisagent également de dispenser des formations aux entreprises pour les aider à appréhender le risque pénal. “Aujourd’hui, le risque pénal est partout et nous pensons qu’il serait utile de renforcer l’aspect préventif du risque pénal auprès des entreprises”, explique Clémence Appriou.

Animés par la volonté de transmettre, ils comptent s’agrandir et former. Des stagiaires d’abord, puis des collaborateurs. ”Nous avons reçu une formation de qualité qu’il nous tient à cœur de transmettre à notre tour” confie Marine Ruta.