L’avocate Annabelle Richard, associée chez Pinsent Masons, a pris les fonctions de vice-présidente du think tank Renaissance Numérique. Elle épaulera Samuel Le Goff, président, aux côtés notamment d’un confrère, Étienne Drouard, avocat associé chez Hogan Lovells.
Annabelle Richard, associée chez Pinsent Masons, vice-présidente de Renaissance Numérique
Une avocate de chez Pinsent Masons devient vice-présidente de Renaissance Numérique, think tank indépendant et apartisan qui contribue par ses réflexions à la transformation numérique de la société. Annabelle Richard était membre du Bureau, l’organe de pilotage de la stratégie, de l’orientation et du développement du think tank depuis juin 2024. Elle travaillera aux côtés de Samuel Le Goff, président de Renaissance Numérique depuis le départ de Nicolas Vanbremeersch – alias Versac –, parti conseiller le Premier ministre, et des autres membres du Bureau Justine Atlan (trésorière), Henri Isaac et Etienne Drouard, avocat, lui aussi, chez Hogan Lovells.
Annabelle Richard dirige l’équipe TMT de Pinsent Masons à Paris. C’est une spécialiste du droit de l’Internet, des technologies de l’information et des télécommunications. Elle maîtrise notamment les problématiques de transition numérique, de protection des données personnelles et de cybersécurité. Inscrite aux barreaux de Paris et de New York, diplômée d’un master en droit de l’IT de l’université Paris 2 Panthéon-Assas et d’un LL.M. de la Boston University School of Law, la juriste a l’habitude des projets internationaux complexes, notamment d’outsourcing. Impliquée dans la vie de l’association depuis 2016, elle a notamment contribué à des travaux sur les technologies de reconnaissance faciale, les données de santé, ou sur la protection des mineurs en ligne, indique Renaissance Numérique.
Le think tank, qui veut éclairer le débat public sur le numérique depuis 2007, est inscrit au Registre de transparence de la Commission européenne répertoriant les organisations qui cherchent à influencer le processus législatif et de mise en œuvre des politiques des institutions européennes. Il compte des personnalités issues d’horizons variés (experts indépendants, cabinets de conseil, cabinets d’avocats, organisations non gouvernementales, grandes écoles et universités, institutions, entreprises…) qui offrent une large palette de compétences (politiques, économiques, juridiques, communications, techniques, sociologiques…).