Case study : ABPA, l’étoile montante des cabinets spécialisés en droit pénal

Un pure player du droit pénal 

Le cabinet ABPA se positionne comme une structure spécialisée en droit pénal exclusivement. Et pour cause, il embrasse tous les pans de la matière à savoir le pénal financier, le pénal fiscal, le pénal international, le pénal public, mais aussi le pénal du travail, de la santé et des accidents et de l’art. L’équipe, composée uniquement d’avocats pénalistes, intervient pour ses clients sur des dossiers de droit de la presse et e-réputation, de criminalité organisée et de saisies pénales. Afin d’accompagner leurs clients dans toutes les dimensions des risques pénaux, les associés ont également développé des compétences en matière d’investigations internes et de conformité, et sont souvent appelés en renfort dans des contentieux complexes dont le pénal ne constitue qu’une dimension. Une plus-value certaine qui permet d’établir une relation pérenne avec une clientèle variée.

Une adaptabilité à tout type de ­demande

Le cabinet représente des personnes aussi bien physiques que morales. Dirigeants, sociétés, institutions, élus locaux, conseillers en gestion de patrimoine, laboratoires pharmaceutiques, médecins, marchands d’art, professionnels de la restauration, artistes de rap, policier, compagnie aérienne, groupe hôtelier… La liste est longue. Opérationnelle et réactive, l’équipe se distingue par sa capacité à traiter des dossiers variés dont les enjeux, complexes, sont bien souvent médiatisés. Les associés, tous polyglottes, travaillent aussi bien en français, qu’en anglais, espagnol et italien ce qui leur permet d’assister une clientèle étrangère ainsi que des clients français sur des dossiers à dimension internationale.

La transmission du savoir

Exercer oui, mais sans oublier la relève. David Apelbaum le rappelle : « Nous avons tous à un moment été un jeune collaborateur à former. Aujourd’hui, c’est à notre tour de former et de transmettre ». ABPA a fait le choix de ne pas créer de départements et de former ses collaborateurs à l’ensemble des activités du cabinet, afin qu’ils deviennent très vite opérationnels. Ce fonctionnement a rapidement porté ses fruits : depuis trois ans, ABPA poursuit sa dynamique de croissance et compte désormais une équipe de huit personnes, dont cinq collaborateurs.

Des associés qui partagent de nombreux points communs

ABPA n’est pas le seul point commun de Margaux Durand-Poincloux, Michaël Bendavid et David Apelbaum. Ces trois brillants pénalistes ont des parcours académiques prestigieux similaires. En plus d’avoir été élus secrétaires de la Conférence au barreau de Paris en 2015 (David Apelbaum), 2016 (Michaël Bendavid) et 2018 (Margaux Durand-Poincloux), ces avocats accomplis ont commencé leur carrière dans des cabinets pénalistes de renom.

Une forte appétence pour l’enseignement

Les fondateurs d’ABPA possèdent en outre un intérêt mutuel pour l’enseignement. David Apelbaum et Michaël Bendavid enseignent la procédure pénale à l’École de droit de Sciences Po Paris. Margaux Durand-Poincloux quant à elle donne un cours d’expression orale au sein de l’École de formation des barreaux (EFB), et s’investit dans diverses associations professionnelles : Secrétaire du Club des femmes pénalistes, membre du groupe de travail Entreprises et droits de l’homme du Conseil national des barreaux, et membre du réseau Women’s Law Network, Margaux Durand-Poincloux pousse plus loin son métier d’avocate et s’engage dans la promotion des valeurs qui lui tiennent à cœur.

Une croissance exponentielle

En moins de trois ans, ABPA a su se développer et s’implanter dans le marché particulièrement compétitif et agressif du droit pénal. Sur les plans national et international, la structure à taille humaine. Une étoile montante qui ne cesse de briller !