Selon le baromètre 2020 publié par la société de conseil en stratégie Day One, la covid-19 figure aux cotés de la RSE, de l’éthique et de la conformité au titre des risques juridiques identifiés au sein des entreprises du CAC 40.
Aude Plus-Valard, associé fondateur chez Aramis Finance se projette sur le monde d’après. Pour elle, la finance verte sera l’un des moteurs essentiels de la transformation de notre société.
Après une carrière d’avocate et une expérience au sein d’une grande entreprise française de solutions de mobilités, Charline Le Clainche rejoint Tereos en 2019. Elle nous partage sa vision du métier de compliance officer et revient sur la complexification des réglementations applicables.
Le legal design, ou encore l’art du langage juridique clair, est une méthode de travail destinée avant tout aux juristes d’entreprise qui diffusent des règles de droit au sein d’autres départements que le leur et aux avocats désireux d’offrir à leurs clients une prestation juridique compréhensible. Naturellement, il envahit un autre espace de droit : la legaltech. Cette dernière en perçoit bien les avantages.
La start-up Closd, qui permet de réaliser des transactions à distance, s’est particulièrement développée ces derniers mois. Son CEO Grégoire Debit offre une vision optimiste du marché de la legaltech française tant auprès des acteurs domestiques du droit qu’à l’étranger.
Si, dans le monde du droit, les cabinets d’avocats et les directions juridiques sont ceux qui utilisent le plus les outils digitaux développés par la legaltech, les études de notaires et d’huissiers de justice ne sont pas en reste. Ces dernières ont besoin de fonctionnalités propres. C’est la raison pour laquelle elles se digitalisent de plus en plus, parallèlement aux autres professionnels du milieu juridique.