Brexit, élection de Donald Trump de Boris Johnson, d’Emmanuel Macron ou encore victoires de François Fillon, Benoit Hamon ou Valérie Pécresse dans des scrutins internes. Les prévisions des spécialistes les plus reconnus sont souvent déjouées de façon spectaculaire. Comment se fait-il que si peu d’observateurs parviennent à de bons pronostics ?
Le repas de Noël approche. Dans une société de plus en plus fracturée et segmentée, il est par la force des choses un lieu de débat politique. Mais que dire sans froisser le converti au zemmourisme, le woke, le macroniste ou l’abstentionniste revendiqué ?
À l’écart des médias mainstream, une nouvelle droite identitaire promeut haine de la République, vision raciale de la société et retour au Moyen-Âge. Un discours qui rencontre un certain succès grâce à une innovation : la volonté de mêler humour et extrémisme politique. Notamment la haine des "gauchistes" auxquels les auteurs ressemblent fâcheusement…
L’historienne publie "Les ambitieuses, 40 femmes qui ont marqué l’histoire par leur volonté d’exister". L’occasion de revenir sur les notions d’émancipation, de patriarcat ou d’écoféminisme. Entretien avec une intellectuelle qui va à l’encontre de la doxa.
Dans son meeting de Villepinte ou dans sa vidéo de déclaration de candidature, Éric Zemmour semble très proche de Donald Trump : haine contre les élites, la presse et le politiquement correct, tentation de se présenter comme le seul représentant du "vrai peuple", nostalgie d’un pays disparu…. Mais il y a un gros grain de sable dans cette stratégie.
La candidature de la présidente de la région Ile-de-France n’est pas la meilleure nouvelle pour le président de la République. Pour autant, ce dernier garde de solides atouts dans la main.
Des soutiens de la première heure qui prennent le large, une société civile qui n’adhère pas, des "professionnels" de LR et du RN qui le fuient, un peuple de droite circonspect... Éric Zemmour est plus seul que jamais à la veille de son premier rassemblement de campagne.