2014 verra-t-elle enfin la sortie des investisseurs institutionnels du sacro-saint core pour aller vers des actifs plus alternatifs, voire risqués ?
2014 verra-t-elle enfin la sortie des investisseurs institutionnels du sacro-saint core pour aller vers des actifs plus alternatifs, voire risqués ? Assistera-t-on, sur le marché immobilier, à la «?grande rotation?» des actifs ? Pas si sûr, tant sur ce secteur les zinzins et autres investisseurs traditionnels peinent à sortir des sentiers battus. Les produits core, très sécurisés, restent le segment privilégié et se font, de fait, chaque année plus rares et plus chers. Aux côtés de ces produits phares, les investisseurs plus «?audacieux?» regardent désormais avec intérêt des actifs secondaires plus risqués, cédés à des taux de rendement élevés, comme le River Plaza à Asnières ou l’Atrium à Gennevilliers. Ce retour des opportunistes est l’une des tendances phares de l’année et il est perçu comme une bulle d’espoir pour dynamiser le marché de l’investissement. Certains prévisionnistes parient déjà sur un volume de près de quinze milliards d’euros en 2014 investis dans l’Hexa

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