L’homme a réussi à prouver qu’il n’était qu’une simple machine. Et, comme toute machine, il peut être réparé et amélioré. Dites bonjour à l’homme 2.0 !
Prendre le contrôle de son évolution
Laissez-moi vous présenter Rex, un charmant robot mesurant deux mètres de haut. Il a été conçu à 100?% à partir d’organes de synthèse et de prothèses. Il possède ainsi un pancréas, un rein, une trachée, une rate et même un système autonome de circulation sanguine. Son prix ? Un milliard de dollars. Rex est la preuve ultime que l’homme n’est qu’une simple machine.
Réparer
Œil, oreille, cœur : l’homme est désormais capable de remplacer artificiellement de nombreux organes. Certes, ces prothèses ne font pas encore aussi bien que les originaux mais cela ne saurait tarder. Récemment, les autorités américaines ont par exemple autorisé la commercialisation d’Argus 2, le tout premier œil bionique. Une centaine d’aveugles ont déjà pu en profiter. Composé d’électrodes implantées dans la rétine et de lunettes équipées d’une mini-caméra, le système permet aux malades atteints de rétinopathie pigmentaire de recouvrer une vue assez précise pour distinguer des formes en noir et blanc.
Les prothèses d’avant-bras deviennent également de plus en plus répandues et évoluées. Tel Terminator, Nigel Ackland, un Anglais ayant perdu son avant-bras dans un accident du travail, vient d’en être doté d’un totalement bionique. Relié à deux de ses muscles, ce bijou de technologie, baptisé Bebionic v2, lui permet entre autres de saisir des objets, faire ses lacets ou même de distribuer les cartes !
Améliorer
Mais cela ne s’arrêtera pas là. Car, comme toute machine, si nous pouvons être réparés, nous pouvons également être améliorés. Pour le moment, cette partie demeure principalement de l’anticipation mais, au vu des progrès récents, il ne serait pas étonnant que d’ici quelques dizaines d’années, les yeux bioniques disposent d’une meilleure vue que nous ou que les mains du même acabit soient plus fortes ou plus agiles.
En réalité, l’homme est déjà capable d’améliorer ses performances. Ainsi, les exosquelettes permettent aux militaires d’amplifier leurs forces. Ils sont alors capables de repousser leurs limites en soulevant des charges plus importantes ou en sautant plus haut et plus loin. Le prix et la taille imposante de ces appareils empêchent encore le développement industriel de cette technologie. Pourtant, le marché est porteur : les ouvriers travaillant avec de lourdes charges ou les infirmières devant soulever des personnes âgées en seraient les premiers bénéficiaires.
Et booster le cerveau
Les recherches ne se limitent pas aux aspects physiques. Le cerveau fait l’objet de nombreuses études. Désormais, l’homme peut être capable, grâce à des capteurs implantés directement sur son cerveau, de contrôler une main à distance en lui indiquant la direction et l’action à faire. On peut ainsi imaginer que, dans le futur, des personnes paralysées se fassent greffer des prothèses qu’elles pourront contrôler grâce à leur cerveau.
D’autres recherches vont encore plus loin. Leurs objectifs ? Améliorer les capacités de notre cerveau. Que diriez-vous si vous n’aviez besoin de ne plus rien apprendre ? C’est le projet fou de chercheurs qui travaillent sur la possibilité d’envoyer des données numériques à notre cerveau. L’homme est en train d’arriver à un stade où il va devenir le maître de sa propre évolution.
Réparer
Œil, oreille, cœur : l’homme est désormais capable de remplacer artificiellement de nombreux organes. Certes, ces prothèses ne font pas encore aussi bien que les originaux mais cela ne saurait tarder. Récemment, les autorités américaines ont par exemple autorisé la commercialisation d’Argus 2, le tout premier œil bionique. Une centaine d’aveugles ont déjà pu en profiter. Composé d’électrodes implantées dans la rétine et de lunettes équipées d’une mini-caméra, le système permet aux malades atteints de rétinopathie pigmentaire de recouvrer une vue assez précise pour distinguer des formes en noir et blanc.
Les prothèses d’avant-bras deviennent également de plus en plus répandues et évoluées. Tel Terminator, Nigel Ackland, un Anglais ayant perdu son avant-bras dans un accident du travail, vient d’en être doté d’un totalement bionique. Relié à deux de ses muscles, ce bijou de technologie, baptisé Bebionic v2, lui permet entre autres de saisir des objets, faire ses lacets ou même de distribuer les cartes !
Améliorer
Mais cela ne s’arrêtera pas là. Car, comme toute machine, si nous pouvons être réparés, nous pouvons également être améliorés. Pour le moment, cette partie demeure principalement de l’anticipation mais, au vu des progrès récents, il ne serait pas étonnant que d’ici quelques dizaines d’années, les yeux bioniques disposent d’une meilleure vue que nous ou que les mains du même acabit soient plus fortes ou plus agiles.
En réalité, l’homme est déjà capable d’améliorer ses performances. Ainsi, les exosquelettes permettent aux militaires d’amplifier leurs forces. Ils sont alors capables de repousser leurs limites en soulevant des charges plus importantes ou en sautant plus haut et plus loin. Le prix et la taille imposante de ces appareils empêchent encore le développement industriel de cette technologie. Pourtant, le marché est porteur : les ouvriers travaillant avec de lourdes charges ou les infirmières devant soulever des personnes âgées en seraient les premiers bénéficiaires.
Et booster le cerveau
Les recherches ne se limitent pas aux aspects physiques. Le cerveau fait l’objet de nombreuses études. Désormais, l’homme peut être capable, grâce à des capteurs implantés directement sur son cerveau, de contrôler une main à distance en lui indiquant la direction et l’action à faire. On peut ainsi imaginer que, dans le futur, des personnes paralysées se fassent greffer des prothèses qu’elles pourront contrôler grâce à leur cerveau.
D’autres recherches vont encore plus loin. Leurs objectifs ? Améliorer les capacités de notre cerveau. Que diriez-vous si vous n’aviez besoin de ne plus rien apprendre ? C’est le projet fou de chercheurs qui travaillent sur la possibilité d’envoyer des données numériques à notre cerveau. L’homme est en train d’arriver à un stade où il va devenir le maître de sa propre évolution.