La Chine, le secteur de la technologie et le private equity seront les principaux acteu de la réouverture du marché des introductio en Boue en 2010. Tout du moi, c’est ce qu’indique une étude d’Ert & Young réalisée auprès de plus de 300 investisseu ititutionnels à trave le monde.

La Chine, le secteur de la technologie et le private equity seront les principaux acteurs de la réouverture du marché des introductions en Bourse en 2010. Tout du moins, c’est ce qu’indique une étude d’Ernst & Young réalisée auprès de plus de 300 investisseurs institutionnels à travers le monde.

Géographiquement, le renouveau des IPO viendra tout d’abord de la Chine, de l’Inde et enfin du Brésil. Moins exposés à la crise et bénéficiant d’une reprise économique rapide, les pays émergents devraient être les premiers à profiter d’un rebond boursier. « Avec plus d’opérations qu’en Amérique du Nord et Europe réunies, les sociétés basées en Chine ont joué un rôle très important dans l’activité récente du marché des capitaux », explique Franck Sebag, associé d’Ernst & Young.

Ce n’est que lors d’une seconde vague (entre le second semestre 2010 et début 2011) que les marchés développés pourront constater cette reprise des introductions. Si le Royaume-Uni et l’Allemagne bénéficient de 57 % de réponses positives concernant ce redémarrage, la France et les États-Unis dépassent à peine la moyenne (52 %).

Les secteurs de la technologie, puis des services financiers, du pétrole et gaz, des métaux et minerais et enfin de la distribution devraient être les premiers à sortir la tête de l’eau. Les sociétés appartenant aux portefeuilles des fonds de capital investissement devraient avoir également un rôle moteur. Les fonds de private equity, notamment aux États-Unis et en Europe, sont aujourd’hui des actionnaires attendant impatiemment de pouvoir trouver une sortie à leurs participations. Il en va parfois de leur propre survie.

Les capitaux investisseurs devront pourtant garder à l’esprit que le principal facteur financier (63 % des réponses) pris en compte par les investisseurs institutionnels sera le taux d’endettement de la cible. Any Antola, associée d’Ernst & Young, confirme cette tendance : «

 

les investisseurs recherchent des placements moins risqués, ce qui signifie qu’ils accordent plus d’importance au taux d’endettement des sociétés cibles. Ils investissent dans des entreprises qui ont su résister à la crise et sont en mesure d’honorer les échéances de leur dette et des intérêts ». La question reste de savoir combien de LBO restent alors en course.

 

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