À quelques heures du vote de défiance demandé par Jérémy Corbyn contre Theresa May, chaque camp fourbit ses armes. Alors que le chef de file des Travaillistes exhorte la Première ministre à démissionner sans attendre, celle-ci appelle les parlementaires à lui renouveler leur soutien afin qu’elle puisse « finir le job ».
Compagnons de lutte, Priscillia Ludosky et Éric Drouet ont officialisé leurs désaccords. Une péripétie a priori anodine qui pourrait avoir des répercussions sur le mouvement des Gilets jaunes.
Son roman, « Leurs enfants après eux », fait l’effet d’une gifle : comme un rappel brutal et salutaire de l’existence d’un monde devenu presque invisible. Il dresse un portrait saisissant, témoignage d’un monde qui vacille et d’une colère qui monte.
Le dossier Brexit, que l’on aurait pu croire en voie de résolution, s’enlise dans la crise au point que l’option du no deal, un temps écartée, semble à nouveau la plus crédible.
Européennes, relations avec Éric Drouet, violences, rapports avec le gouvernement… L’un des trois cofondateurs des Gilets jaunes libres se confie à Décideurs Magazine.
Fin décembre, un rapport de l’Inspection générale de la justice analysait les besoins en parquetiers du ministère public et préconisait « d’augmenter significativement les effectifs » afin d’assurer le bon fonctionnement de la justice.