Le Press Club vient de décerner les prix 2014 récompensant l’humour des personnalités politiques.
Les politiques les plus drôles sont…
Comme chaque année depuis 2002, le Press Club de France récompense, sous la présidence de Jean Miot (AFP), la personnalité politique auteure de la phrase la plus hilarante, « qu’il s’agisse indistinctement d’humour volontaire ou involontaire », précise-t-on en interne.
C’est Alain Juppé qui a été désigné lundi 29 au soir lauréat 2014 avec la phrase : « En politique, on n'est jamais fini. Regardez-moi ! »
Pour mémoire, l’an passé, Gérard Longuet avait remporté le titre avec sa saillie : « Hollande est favorable au mariage pour tous... sauf pour lui. »
Un premier prix spécial a été attribué à à Arnaud Montebourg, ancien ministre, avec : « Je crois à un retour de Nicolas Sarkozy, mais menotté. » Un deuxième à Hervé Morin, président du Nouveau Centre, pour son propos : « Au centre, on n'est pas chargé d'être la roue de secours du Titanic. »
Le parti socialiste a lui aussi été récompensé pour le prix du tweet politique de l’année : « Harlem Désir en déplacement à Jarnac pour la commémoration de la disparition de François Hollande. » Et Pierre de Cossette, journaliste à Europe 1, pour son tweet médiatique : « À ce rythme, Hollande sera sous les 3 % avant le déficit. »
C’est Alain Juppé qui a été désigné lundi 29 au soir lauréat 2014 avec la phrase : « En politique, on n'est jamais fini. Regardez-moi ! »
Pour mémoire, l’an passé, Gérard Longuet avait remporté le titre avec sa saillie : « Hollande est favorable au mariage pour tous... sauf pour lui. »
Un premier prix spécial a été attribué à à Arnaud Montebourg, ancien ministre, avec : « Je crois à un retour de Nicolas Sarkozy, mais menotté. » Un deuxième à Hervé Morin, président du Nouveau Centre, pour son propos : « Au centre, on n'est pas chargé d'être la roue de secours du Titanic. »
Le parti socialiste a lui aussi été récompensé pour le prix du tweet politique de l’année : « Harlem Désir en déplacement à Jarnac pour la commémoration de la disparition de François Hollande. » Et Pierre de Cossette, journaliste à Europe 1, pour son tweet médiatique : « À ce rythme, Hollande sera sous les 3 % avant le déficit. »