Le Palais Brongniart ouvrira ses portes les 16 et 17 avril prochains à la quatrième édition du Printemps des Études, un événement devenu incontournable. Stéphanie Perrin est commissaire générale du Printemps des Etudes et directrice de l'agence Empresarial :
Marketing : tous au Printemps des Études !
Décideurs. L’événement prend une très belle tournure. Dire que tout est parti de Linkedin…
Stéphanie Perrin. Un collectif de 470 acteurs de la filière des études marketing (annonceurs, prestataires et chercheurs) s’est constitué autour de l’Atedem et du Syntec dans l’optique de créer un événement qui lui soit dédié. Le Printemps des Études est né de cette volonté, et est désormais bien installé dans le paysage de l’industrie.
Décideurs. Comment décririez-vous l’événement dans les grandes lignes ?
S. P. Ce sont 70 conférences et 123 participants (exposants et speakers), issus de tous les métiers de la filière : des sémiologues, des traducteurs, des éditeurs de logiciels et des instituts d’études marketing et de sondages. C’est donc tout l’écosystème qui sera représenté pour échanger sur les enjeux et évolutions de nos métiers.
Décideurs. Quel public attendez-vous ?
S. P. Nous attendons un grand nombre de directeurs d’études, de responsables marketing et de responsables de la communication. Il y également de plus en plus de dirigeants d’entreprise et directeurs digitaux, et de directeurs des achats (acheteurs production et hors-production). Ces derniers interviennent de plus en plus dans la commercialisation des études, et ils viennent au Printemps pour comprendre ce qu’ils achètent. Le salon accueillait l’an dernier 2400 visiteurs professionnels (+32% de fréquentation en 3 sessions) et s’est ouvert à l’international.
Décideurs. Y a-t-il des secteurs représentés en particulier cette année ?
S. P. Les participants sont issus de secteurs très variés, nous aurons ainsi des interventions Franck Brezout des parfums Dior, Valérie Satre du groupe Seb ou encore Anne Philip de Mondadori Publicité. La conférence inaugurale sera donnée par François Bellanger, le fondateur du think-tank Transit-City, sur le thème de l’Homme androïde.
Décideurs. Quelles sont les nouveautés par rapport aux éditions précédentes ?
S. P. L’application du Printemps des Études aura plus de contenu cette année, et nous avons choisi d’organiser plus des visites guidées du salon pour favoriser un équilibre idéal entre l’exposition et ses 75 exposants et les conférences.
Autres nouveautés, un volet des conférences sera dédié aux problématiques RH de notre industrie, et nous allons publier en partenariat avec Esomar une étude sur les relations entre instituts d’études et annonceurs. L’idée est de mettre an avnt des best practices.
Enfin, nous nous concentrerons sur le juridique et les données personnelles, qui feront l’objet d’un point spécifique avec le SYNTEC Etudes, l’UDA et Esomar.
Plus d’informations sur le site web du Printemps des Études.
Stéphanie Perrin. Un collectif de 470 acteurs de la filière des études marketing (annonceurs, prestataires et chercheurs) s’est constitué autour de l’Atedem et du Syntec dans l’optique de créer un événement qui lui soit dédié. Le Printemps des Études est né de cette volonté, et est désormais bien installé dans le paysage de l’industrie.
Décideurs. Comment décririez-vous l’événement dans les grandes lignes ?
S. P. Ce sont 70 conférences et 123 participants (exposants et speakers), issus de tous les métiers de la filière : des sémiologues, des traducteurs, des éditeurs de logiciels et des instituts d’études marketing et de sondages. C’est donc tout l’écosystème qui sera représenté pour échanger sur les enjeux et évolutions de nos métiers.
Décideurs. Quel public attendez-vous ?
S. P. Nous attendons un grand nombre de directeurs d’études, de responsables marketing et de responsables de la communication. Il y également de plus en plus de dirigeants d’entreprise et directeurs digitaux, et de directeurs des achats (acheteurs production et hors-production). Ces derniers interviennent de plus en plus dans la commercialisation des études, et ils viennent au Printemps pour comprendre ce qu’ils achètent. Le salon accueillait l’an dernier 2400 visiteurs professionnels (+32% de fréquentation en 3 sessions) et s’est ouvert à l’international.
Décideurs. Y a-t-il des secteurs représentés en particulier cette année ?
S. P. Les participants sont issus de secteurs très variés, nous aurons ainsi des interventions Franck Brezout des parfums Dior, Valérie Satre du groupe Seb ou encore Anne Philip de Mondadori Publicité. La conférence inaugurale sera donnée par François Bellanger, le fondateur du think-tank Transit-City, sur le thème de l’Homme androïde.
Décideurs. Quelles sont les nouveautés par rapport aux éditions précédentes ?
S. P. L’application du Printemps des Études aura plus de contenu cette année, et nous avons choisi d’organiser plus des visites guidées du salon pour favoriser un équilibre idéal entre l’exposition et ses 75 exposants et les conférences.
Autres nouveautés, un volet des conférences sera dédié aux problématiques RH de notre industrie, et nous allons publier en partenariat avec Esomar une étude sur les relations entre instituts d’études et annonceurs. L’idée est de mettre an avnt des best practices.
Enfin, nous nous concentrerons sur le juridique et les données personnelles, qui feront l’objet d’un point spécifique avec le SYNTEC Etudes, l’UDA et Esomar.
Plus d’informations sur le site web du Printemps des Études.