Pascale Lagesse
Pascale Lagesse fait partie de la selection des 50 avocats d'affaires, famille des fonceurs.
Pascale Lagesse
Bredin Prat
> Née à l’île Maurice
> Développeuse hors pair
> Déteste le process
> Parle cash
Pascale Lagesse en trois mots. Foncer. Rencontrer. Entreprendre. Elle vit à cent à l’heure entre Bredin Prat, où elle dirige le département social d’une main de maître, sa famille et ses mille et une passions : «?Le temps me manque pour réaliser tout ce que je voudrais.?» L’été, elle peut cependant se plonger dans un polar suédois. Les rencontres importantes, elle a su les saisir, notamment celles avec Hubert Flichy ou encore Jean-François Prat. Quant à l’entrepreneuse, on peut lui faire confiance pour ne pas s’arrêter en si bon chemin, sans oublier d’où elle vient, Maurice.
Décideurs. Votre métier, une vocation ?
Pascale Lagesse. Très jeune, j’étais déjà passionnée par ce que faisait mon père – avocat. Loin d’être tracé, mon parcours s’est construit au fil des rencontres. Rien ne me prédestinait au droit social mais le contentieux m’attirait. Une opportunité d’intégrer l’équipe sociale de Gide s’est avérée décisive. Puis, au fil des gouvernements, la matière est devenue plus complexe, nécessitant du conseil aux entreprises autant que des plaidoiries. Cette dualité me plaît.
Décideurs. Une fierté ?
P. L. Celle d’avoir constitué une équipe incroyable. Il y a une énergie galvanisante qui soude ses membres. Nous intervenons sur une très large palette de dossiers et les succès sont le fruit du collectif.
Décideurs. Un dossier marquant ?
P. L. Mes deux derniers grands dossiers M&A – l’acquisition du pôle énergie d’Alstom par General Electric et le partenariat entre PSA et Dongfeng. Dans les deux cas, ce fut une grande aventure tant sur le plan national que mondial.
Décideurs. Quelles sont les causes qui vous touchent ?
P. L. J’ai une sensibilité particulière vis-à-vis des femmes, une tendance à vouloir les aider professionnellement, et plus généralement, la diversité. Je combats le racisme depuis mon enfance.
Pascale Lagesse
Bredin Prat
> Née à l’île Maurice
> Développeuse hors pair
> Déteste le process
> Parle cash
Pascale Lagesse en trois mots. Foncer. Rencontrer. Entreprendre. Elle vit à cent à l’heure entre Bredin Prat, où elle dirige le département social d’une main de maître, sa famille et ses mille et une passions : «?Le temps me manque pour réaliser tout ce que je voudrais.?» L’été, elle peut cependant se plonger dans un polar suédois. Les rencontres importantes, elle a su les saisir, notamment celles avec Hubert Flichy ou encore Jean-François Prat. Quant à l’entrepreneuse, on peut lui faire confiance pour ne pas s’arrêter en si bon chemin, sans oublier d’où elle vient, Maurice.
Décideurs. Votre métier, une vocation ?
Pascale Lagesse. Très jeune, j’étais déjà passionnée par ce que faisait mon père – avocat. Loin d’être tracé, mon parcours s’est construit au fil des rencontres. Rien ne me prédestinait au droit social mais le contentieux m’attirait. Une opportunité d’intégrer l’équipe sociale de Gide s’est avérée décisive. Puis, au fil des gouvernements, la matière est devenue plus complexe, nécessitant du conseil aux entreprises autant que des plaidoiries. Cette dualité me plaît.
Décideurs. Une fierté ?
P. L. Celle d’avoir constitué une équipe incroyable. Il y a une énergie galvanisante qui soude ses membres. Nous intervenons sur une très large palette de dossiers et les succès sont le fruit du collectif.
Décideurs. Un dossier marquant ?
P. L. Mes deux derniers grands dossiers M&A – l’acquisition du pôle énergie d’Alstom par General Electric et le partenariat entre PSA et Dongfeng. Dans les deux cas, ce fut une grande aventure tant sur le plan national que mondial.
Décideurs. Quelles sont les causes qui vous touchent ?
P. L. J’ai une sensibilité particulière vis-à-vis des femmes, une tendance à vouloir les aider professionnellement, et plus généralement, la diversité. Je combats le racisme depuis mon enfance.