Lionel Scotto
Lionel Scotto fait partie de la selection des 50 avocats d'affaires, famille des fonceurs.
Lionel Scotto
Scotto & Associés
> Enfant, il négociait déjà
> Un sportif, un vrai
> Amoureux de belles mécaniques
Lionel Scotto n’a que 31 ans lorsqu’il crée son cabinet. «?À l’époque, tout le monde rêvait d’OPA et de contentieux boursiers?», se souvient-il. «?Bien loin de ces sujets, je m’étais fait un nom auprès des fonds. Une clientèle qui traînait alors une mauvaise réputation.?» C’est peut-être pour cette raison qu’il décide de leur tourner le dos et de consacrer son énergie aux chefs d’entreprise. «?Sans le savoir, je venais de choisir mon camp?», explique-t-il. Témoignage.
Décideurs. Entre avocat, entrepreneur et chef d’entreprise, comment vous présenteriez-vous ?
Lionel Scotto. Avocat avant tout car c’est mon métier. Mais c’est aussi un moyen de satisfaire ma passion pour l’entrepreneuriat. Je ne me vois pas en revanche comme un chef d’entreprise. J’en côtoie depuis plus de vingt ans. Ils me fascinent et je n’estime pas appartenir à la même catégorie qu’eux.
Décideurs. Depuis 1996, vous accompagnez des patrons d’entreprise sous LBO. Pourquoi ce positionnement ?
L. S. Lorsque je me suis installé à mon compte, j’ai tout de suite compris que je n’aurais pas la réussite d’un Jean-Michel Darrois qui occupait, avec d’autres, le marché des grandes opérations boursières. Je souhaitais malgré tout travailler au plus près des décideurs. À l’époque, le capital-investissement se développait en France et les dirigeants des entreprises concernées ne bénéficiaient d’aucun accompagnement de qualité. Un besoin existait, j’en ai fait ma spécialité.
Décideurs. Murmurer à l’oreille des patrons laisse-t-il du temps à votre vie de famille ?
L. S. Le temps, je le trouve, c’est indispensable ! Passer un week-end avec mes deux filles, pratiquer le ski de randonnée ou aller à l’opéra avec mon épouse : voilà mon vrai moteur. J’ai dressé une muraille de Chine entre le travail et ma vie privée. Au point que me femme ne sait rien ou presque de mon métier !
Lionel Scotto
Scotto & Associés
> Enfant, il négociait déjà
> Un sportif, un vrai
> Amoureux de belles mécaniques
Lionel Scotto n’a que 31 ans lorsqu’il crée son cabinet. «?À l’époque, tout le monde rêvait d’OPA et de contentieux boursiers?», se souvient-il. «?Bien loin de ces sujets, je m’étais fait un nom auprès des fonds. Une clientèle qui traînait alors une mauvaise réputation.?» C’est peut-être pour cette raison qu’il décide de leur tourner le dos et de consacrer son énergie aux chefs d’entreprise. «?Sans le savoir, je venais de choisir mon camp?», explique-t-il. Témoignage.
Décideurs. Entre avocat, entrepreneur et chef d’entreprise, comment vous présenteriez-vous ?
Lionel Scotto. Avocat avant tout car c’est mon métier. Mais c’est aussi un moyen de satisfaire ma passion pour l’entrepreneuriat. Je ne me vois pas en revanche comme un chef d’entreprise. J’en côtoie depuis plus de vingt ans. Ils me fascinent et je n’estime pas appartenir à la même catégorie qu’eux.
Décideurs. Depuis 1996, vous accompagnez des patrons d’entreprise sous LBO. Pourquoi ce positionnement ?
L. S. Lorsque je me suis installé à mon compte, j’ai tout de suite compris que je n’aurais pas la réussite d’un Jean-Michel Darrois qui occupait, avec d’autres, le marché des grandes opérations boursières. Je souhaitais malgré tout travailler au plus près des décideurs. À l’époque, le capital-investissement se développait en France et les dirigeants des entreprises concernées ne bénéficiaient d’aucun accompagnement de qualité. Un besoin existait, j’en ai fait ma spécialité.
Décideurs. Murmurer à l’oreille des patrons laisse-t-il du temps à votre vie de famille ?
L. S. Le temps, je le trouve, c’est indispensable ! Passer un week-end avec mes deux filles, pratiquer le ski de randonnée ou aller à l’opéra avec mon épouse : voilà mon vrai moteur. J’ai dressé une muraille de Chine entre le travail et ma vie privée. Au point que me femme ne sait rien ou presque de mon métier !