Né du projet commun de cinq anciens de Bredin Prat, Solferino Associés avance à grands pas en M&A, droit boursier, bancaire et financier.
Solferino en ordre de bataille
Fondé en janvier 2011 par Bernard-Olivier Becker, Fouad Bellaaroussi, Guillaume Buge, Charlotte Plantin et Oun-Tat Tieu, Solferino Associés est un cabinet qui porte dans ses gènes l’héritage Bredin Prat, offrant à ses clients un service de grande qualité. Réunis autour des métiers du conseil et du contentieux des affaires, les associés étendent déjà peu à peu leur intervention à la fois auprès d’une clientèle plus stratégique et sur des dossiers internationaux.
Depuis Paris jusqu’à l’Afrique
Cette ambition s’affiche concrètement dès à présent grâce à l’ouverture d’un bureau à l’étranger. Solferino a choisi Casablanca pour débuter son expansion, grâce à une joint-venture avec Diouri, cabinet local réputé. Dès lors, si l’activité des associés était jusqu’à présent axée sur les dossiers français des clients étrangers, Solferino va dorénavant intervenir directement à l’étranger. Porte d’entrée vers l’Afrique, le Maroc est le lieu d’implantation des plus importantes institutions financières internationales et le hub de nombreuses opérations d’investissements majeures. L’objectif de ce partenariat, baptisé Diouri-Solferino, est d’attirer de nouveaux clients européens cherchant à investir au Maroc et d’accueillir des investisseurs marocains intéressés par l’Europe. Un objectif d’autant plus à la portée des jeunes associés que leur partenaire est déjà très présent à l’international, avec des bureaux en Espagne et au Canada. Le pays n’est pas pour eux une terre inconnue puisque l’un des premiers dossiers du cabinet était une opération d’investissement réalisée au Maroc. Pour Fouad Bellaaroussi, l’associé initiateur de cette alliance, «?les liens avec le cabinet Diouri sont si étroits que cette joint-venture est la suite logique des relations entre deux cabinets ambitieux et en pleine croissance?».
Corporate et contentieux
Le souhait des associés de Solferino est d’offrir aux petites et moyennes entreprises dynamiques, comme aux sociétés de plus grande taille pour leurs opérations de plus petite envergure, une qualité de prestation comparable à celle des grands cabinets à des prix raisonnables. Pour cela, les fondateurs ont lié leurs compétences en M&A et en contentieux, leur spécialisation permettant une approche globale des dossiers. Ainsi, Bernard-Olivier Becker et Fouad Bellaaroussi concentrent leurs activités sur le conseil en M&A, droit boursier et droit bancaire et financier. Guillaume Buge, Charlotte Plantin et Oun-Tat Tieu forment le pôle contentieux du cabinet ; ils gèrent les litiges civils et commerciaux, avec une spécialisation particulière pour les contentieux boursiers et financiers. «?De plus en plus de dossiers justifient une double expertise, soit pour anticiper les risques contentieux d’une opération, soit pour expliciter les détails et la logique d’une opération dans le cadre d’un litige ultérieur?», explique Guillaume Buge. Le cabinet affiche ainsi une activité couvrant les rapprochements de PME, les fusions de sociétés cotées, les OPA, les conflits d’actionnaires, le contentieux de haut de bilan, les poursuites pénales des dirigeants d’entreprise, etc. Sur ces bases, les deux premières années d’exercice dépassent les prévisions.
Investir sur l’avenir
Le contexte leur est favorable, c’est certain, les plus gros cabinets cherchant leur succession ou présentant un taux de facturation trop élevé. Au-delà de ce constat, le cabinet repose avant tout sur une forte volonté des fondateurs de créer leur propre structure autour d’une équipe formée à la même école. D’autant plus que les jeunes associés conservent d’excellents rapports avec leur ancienne maison et reconnaissent aisément que l’héritage de Bredin Prat n’est pas loin. Leur projet les a portés vers autre chose : «?L’objectif de la création de Solferino Associés n’est pas de répliquer quoi que ce soit, explique Bernard-Olivier Becker. Nous souhaitions nous retrouver autour d’un projet commun qui offre à nos clients un service haut de gamme et réactif.?»
Le cabinet favorise le travail collectif, la cohésion des équipes et une forte implication des associés sur les dossiers. Le recrutement de nouveaux collaborateurs est stratégique pour le cabinet. «?Il s’agit d’un véritable investissement sur l’avenir car ce sont les futurs collaborateurs qui feront aussi la valeur du cabinet dans quelques années. C’est pour cela que nous sommes très attentifs au recrutement?», confie Guillaume Buge.
Depuis Paris jusqu’à l’Afrique
Cette ambition s’affiche concrètement dès à présent grâce à l’ouverture d’un bureau à l’étranger. Solferino a choisi Casablanca pour débuter son expansion, grâce à une joint-venture avec Diouri, cabinet local réputé. Dès lors, si l’activité des associés était jusqu’à présent axée sur les dossiers français des clients étrangers, Solferino va dorénavant intervenir directement à l’étranger. Porte d’entrée vers l’Afrique, le Maroc est le lieu d’implantation des plus importantes institutions financières internationales et le hub de nombreuses opérations d’investissements majeures. L’objectif de ce partenariat, baptisé Diouri-Solferino, est d’attirer de nouveaux clients européens cherchant à investir au Maroc et d’accueillir des investisseurs marocains intéressés par l’Europe. Un objectif d’autant plus à la portée des jeunes associés que leur partenaire est déjà très présent à l’international, avec des bureaux en Espagne et au Canada. Le pays n’est pas pour eux une terre inconnue puisque l’un des premiers dossiers du cabinet était une opération d’investissement réalisée au Maroc. Pour Fouad Bellaaroussi, l’associé initiateur de cette alliance, «?les liens avec le cabinet Diouri sont si étroits que cette joint-venture est la suite logique des relations entre deux cabinets ambitieux et en pleine croissance?».
Corporate et contentieux
Le souhait des associés de Solferino est d’offrir aux petites et moyennes entreprises dynamiques, comme aux sociétés de plus grande taille pour leurs opérations de plus petite envergure, une qualité de prestation comparable à celle des grands cabinets à des prix raisonnables. Pour cela, les fondateurs ont lié leurs compétences en M&A et en contentieux, leur spécialisation permettant une approche globale des dossiers. Ainsi, Bernard-Olivier Becker et Fouad Bellaaroussi concentrent leurs activités sur le conseil en M&A, droit boursier et droit bancaire et financier. Guillaume Buge, Charlotte Plantin et Oun-Tat Tieu forment le pôle contentieux du cabinet ; ils gèrent les litiges civils et commerciaux, avec une spécialisation particulière pour les contentieux boursiers et financiers. «?De plus en plus de dossiers justifient une double expertise, soit pour anticiper les risques contentieux d’une opération, soit pour expliciter les détails et la logique d’une opération dans le cadre d’un litige ultérieur?», explique Guillaume Buge. Le cabinet affiche ainsi une activité couvrant les rapprochements de PME, les fusions de sociétés cotées, les OPA, les conflits d’actionnaires, le contentieux de haut de bilan, les poursuites pénales des dirigeants d’entreprise, etc. Sur ces bases, les deux premières années d’exercice dépassent les prévisions.
Investir sur l’avenir
Le contexte leur est favorable, c’est certain, les plus gros cabinets cherchant leur succession ou présentant un taux de facturation trop élevé. Au-delà de ce constat, le cabinet repose avant tout sur une forte volonté des fondateurs de créer leur propre structure autour d’une équipe formée à la même école. D’autant plus que les jeunes associés conservent d’excellents rapports avec leur ancienne maison et reconnaissent aisément que l’héritage de Bredin Prat n’est pas loin. Leur projet les a portés vers autre chose : «?L’objectif de la création de Solferino Associés n’est pas de répliquer quoi que ce soit, explique Bernard-Olivier Becker. Nous souhaitions nous retrouver autour d’un projet commun qui offre à nos clients un service haut de gamme et réactif.?»
Le cabinet favorise le travail collectif, la cohésion des équipes et une forte implication des associés sur les dossiers. Le recrutement de nouveaux collaborateurs est stratégique pour le cabinet. «?Il s’agit d’un véritable investissement sur l’avenir car ce sont les futurs collaborateurs qui feront aussi la valeur du cabinet dans quelques années. C’est pour cela que nous sommes très attentifs au recrutement?», confie Guillaume Buge.
