David Gordon-Krief, le chef de file
Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort. Une maxime qui résume la carrière de ce dealmaker, parsemée de campagnes politiques et institutionnelles, de prises de risques et de réussites entrepreneuriales, dont le fil rouge se résume à ses valeurs familiales et déontologiques. "Je ne suis pas Maradona ni le premier violon de l’opéra de Paris, concède David Gordon-Krief. En revanche, je suis un bon capitaine ou un chef d’orchestre. " Ce qui explique pourquoi ce pater familias est sur des dossiers majeurs. De la restructuration d’Histoire d’Or (la reprise de Marc Orian par Bridgepoint puis la fusion de deux enseignes de la joaillerie) jusqu’au conseil de Carrefour, Casino ou Eurazeo… Pour cet avocat de 56 ans, la maîtrise du contentieux vient au service de la réalisation des transactions, essentielle pour établir une bonne stratégie de négociation. Une règle à laquelle il ajoute sa fibre publique, celle d’un homme qui écoute et cherche à comprendre avant d’entamer une action. "La complexité du droit et des situations fait que l’horloge de l’avocat ne peut pas être celle de l’immédiateté, mais la réactivité doit être au cœur de nos actions. Il nous faut surtout construire une relation de confiance, nous n’avons pas le droit de décevoir. Je tiens cet enseignement de mon grand-père. "
Celui-là même qui avait bâti le cabinet SBKG que David Gordon Krief s’est attaché à faire grandir jusqu’au moment où l’appel d’UGGC Avocats s’est montré irrésistible. Pour son plus grand bonheur, à observer la liste infinie des opportunités qui s’offrent à lui, tant pour ses clients que pour son épanouissement personnel, grâce au collectif. Encore l’une de ses valeurs cardinales.