Laurence de Rocca-Serra, directeur général d’Alliance High Tech
« Avoir une valeur ajoutée dans la stratégie de l’entreprise »
Chiffre d’affaires 2014 : 20 M€
Effectifs 2014 : 7
Secteur d’activité : technologie de l’information
Pour Laurence de Rocca-Serra, l’essor des DAF s’explique en partie par l’évolution des formations : « Aujourd’hui, les formations spécialisées en finance préparent plus au management d’entreprise ». Elle, qui a justement suivi une formation de management d’entreprise, a toujours estimé que sa mission première était l’organisation structurelle et financière de la société avant même de se consacrer à sa compétence générale de dirigeant. En 2011, elle rejoint le groupement d’intérêt économique (GIE) Alliance High Tech en tant que directrice administrative et financière. « Avec une bonne connaissance du noyau de l’entreprise, le DAF, en utilisant ses moyens, a une valeur ajoutée dans la stratégie de l’entreprise », estime-t-elle. Pas étonnant donc que ce soit elle qui mène à bien la restructuration juridique et administrative de l’entreprise. C’est aussi elle qui met en place la nouvelle stratégie marketing pour assurer le développement du groupe. Après ces expériences réussies, c’est tout naturellement qu’elle est nommée trois ans plus tard directeur général.
Ce témoignage fait partie de notre enquête "Quand les DAF deviennent président".
Effectifs 2014 : 7
Secteur d’activité : technologie de l’information
Pour Laurence de Rocca-Serra, l’essor des DAF s’explique en partie par l’évolution des formations : « Aujourd’hui, les formations spécialisées en finance préparent plus au management d’entreprise ». Elle, qui a justement suivi une formation de management d’entreprise, a toujours estimé que sa mission première était l’organisation structurelle et financière de la société avant même de se consacrer à sa compétence générale de dirigeant. En 2011, elle rejoint le groupement d’intérêt économique (GIE) Alliance High Tech en tant que directrice administrative et financière. « Avec une bonne connaissance du noyau de l’entreprise, le DAF, en utilisant ses moyens, a une valeur ajoutée dans la stratégie de l’entreprise », estime-t-elle. Pas étonnant donc que ce soit elle qui mène à bien la restructuration juridique et administrative de l’entreprise. C’est aussi elle qui met en place la nouvelle stratégie marketing pour assurer le développement du groupe. Après ces expériences réussies, c’est tout naturellement qu’elle est nommée trois ans plus tard directeur général.
Ce témoignage fait partie de notre enquête "Quand les DAF deviennent président".
