Nommé à la surprise générale en janvier dernier par le Medef pour mener les négociations sur l’assurance chômage, Jean Cerutti n’a pas fini de faire parler de lui.

Alors que les syndicats réclament la surcotisation générale ainsi qu’un système de bonus-malus pour sanctionner les entreprises qui abusent des contrats courte durée, il semble vouloir jouer la montre en refusant toute négociation. Si la rencontre du lundi 30 mai n’a pas paru fructueuse, celle du 14 juin risque de ne pas être suffisante. Le moyen pour l’organisation patronale d’imposer son point de vue au dernier moment ? Autre possibilité, Jean Cerutti pourrait couper court aux discussions et botter définitivement en touche. Affaire à suivre.

 

RT

 

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