Nathalie Charles qui rejoint BNP Paribas Real Estate, WeMaintain qui lève 7 millions d’euros, La Poste qui loue 22 000 m² à Wissous… Décideurs vous propose une synthèse des actualités immobilières du 23 avril.

 

Nathalie Charles succède à Barbara Knoflach chez BNP Paribas Real Estate

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Nathalie Charles (à gauche) et Barbara Knoflach

BNP Paribas Real Estate annonce la décision de Barbara Knoflach, deputy chief executive officer de BNP Paribas Real Estate et global head of investment management, de quitter l’entreprise. « Au sein de BNP Paribas REIM, ma mission consistant à créer un acteur européen d’envergure, doté d’une solide équipe de management internationale, est accomplie », commente Barbara Knoflach. Au cours des 4 dernières années, elle a fait évoluer le volume d’actifs sous gestion de BNP Paribas REIM de 22 milliards d’euros à 29 milliards en 2018.
Nathalie Charles, 53 ans, rejoindra BNP Paribas Real Estate le 1er juillet 2019 en tant que global head of investment management. Sa nomination au poste de deputy chief executive officer sera proposée au Conseil de Surveillance de BNP Paribas Real Estate. Dans le cadre de ses fonctions, elle sera chargée de renforcer la stratégie de la ligne métier investment management et d'en assurer la mise en œuvre localement en France, en Allemagne, en Italie, au Luxembourg, en Belgique, aux Pays-Bas, au Royaume-Uni et en Espagne, consolidant ainsi la position de BNP Paribas REIM en tant qu’acteur de premier plan en Europe. « La grande expérience de Nathalie Charles et sa connaissance approfondie de l’ensemble du cycle de vie de l’immobilier nous permettront d’atteindre nos objectifs ambitieux en Europe, explique Thierry Laroue-Pont, président du directoire de BNP Paribas Real Estate. Parmi nos moteurs de croissance, nous pouvons en effet citer les 34 milliards d’euros d’actifs sous gestion que nous visons en Investment Management d'ici 2020. »
Avant de rejoindre BNP Paribas Real Estate, Nathalie Charles était head of development and european country teams chez AXA IM - Real Assets, où elle supervisait l’ensemble de la gestion des actifs européens, y compris les acquisitions, les cessions, les locations et le développement. Auparavant, elle occupait le poste de directrice immobilier du groupe EDF, où elle gérait les différentes activités d’asset, de property et de facility management pour l’ensemble de la société et de ses filiales en France, avec un portefeuille de 4,5 millions de m². Avant de rejoindre EDF, Nathalie a passé 12 ans au sein du groupe Unibail-Rodamco, où elle a occupé divers postes de direction, notamment en tant que directrice générale adjointe du pôle bureaux, en charge des grands projets de développement dans la région parisienne. Nathalie Charles possède 30 ans d’expérience dans le secteur de l’immobilier et est diplômée de l’École Polytechnique. En 2011, elle reçoit la distinction de Chevalier de la Légion d’honneur. En 2018, elle a été nommée présidente de l'Urban Land Institute (ULI) France.

 

JLL Expertises renforce ses équipes

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© Nick Youngson - Alpha Stock Images [CC BY-SA 3.0]

Sam Capaoni, MRICS, rejoint JLL Expertises comme directeur expertises senior. Il est diplômé de l’Institut supérieur du commerce à Paris. Il débute sa carrière professionnelle en 2002 chez CBRE comme consultant au département international valuation and advisory. Il rejoint Cushman & Wakefield en 2005 comme consultant sénior, avant d’intégrer Knight Frank en 2013 au poste de partner au département valuation and advisory.
Thierry Samson rejoint JLL Expertises comme manager opérationnel & qualité. Il est diplômé de l’Université Paris-Ouest et de l’ICH de Paris. Il a auparavant été assistant asset manager chez Acofi (2009). Il intègre par la suite le Crédit Foncier Expertise où il occupera le poste d’expert immobilier (2010), puis de chef de mission (2016), avant d’être nommé responsable clientèle (2017).
Pierre Pire rejoint JLL Expertises comme responsable expertises hub Méditerranée, référent résidentiel prestige basé à Nice. Il est diplômé de l’université Paris Dauphine en asset management, et titulaire de deux DESS en droit de l’urbanisme et construction et droits de l’environnement. Pierre Pire a débuté sa carrière en 1990 au poste d’expert junior au Crédit Foncier Expertise. Il a ensuite été expert chef de mission (2003-2011). Il est nommé ensuite responsable régional des expertises Côte d’Azur du Crédit Foncier Expertise.
Iwona Zulawski rejoint JLL Expertises comme directrice expertise. Elle est diplômée de l’Université Paris XII, et de l’Ecole Polytechnique de Rzeszow en Pologne, dont elle est originaire. Elle débute sa carrière en 2008 comme expert immobilier d’abord chez BNP Paribas Immobilier, puis chez Crédit Foncier Expertise. En 2013, elle devient chef de mission des expertises, puis est nommée en 2016, Responsable clientèle expertise.
« Ces recrutements s’inscrivent dans notre volonté de croissance dans les métiers de l’expertise, explique Arabella Edwards, présidente de JLL Expertises. Avec ces 10 recrutements, nous sommes ravis d’intégrer plus de 80 années cumulées d’expérience pour renforcer notre capacité à mieux servir nos clients. »
Nurullah Cimen, rejoint JLL Expertises comme juriste. Il était précédemment associé d’un centre de VHU agréé négoce automobile. Andreia Neves, rejoint JLL Expertises comme expert junior. Elle occupait précédemment le poste assistante de direction chez Generali France. Raphael Lecomte, rejoint JLL Expertises. Il était précédemment expert immobilier au Crédit Foncier Immobilier. Rémy Courtet a rejoint JLL Expertises au poste d’expert à Marseille. Il était auparavant expert chez Crédit Foncier Immobilier. Jean-Michel Coupaye rejoint JLL Expertises comme expert junior à Lyon. Il occupait précédemment le poste d’analyste private equity interne chez Tertium Management. Caroline Bils rejoint JLL Expertises comme expert junior à Lille.

 

Nouvelles fonctions pour Krystel Bruneau chez Foncia

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Foncia Groupe annonce la nomination de Krystel Bruneau au poste de présidente de Foncia croissance, filiale du groupe dédiée au neuf. Elle conserve son poste de présidente au sein de Foncia Property Management qu’elle occupe depuis 2018. Elle rapporte directement à Philippe Salle, président de Foncia Groupe et devient membre du comité de direction de l’administration de biens et du management committee du groupe.
Dans le cadre de ses nouvelles fonctions, Krystel Bruneau a pour mission de poursuivre le développement du groupe en gestion de patrimoine tant en BtoB qu’en BtoC et de conduire une stratégie de promotion des programmes neufs.
Krystel Bruneau, 48 ans, diplômée d’un master 2 en finance d’entreprise à l’université Evry-Val d’Essonne, a réalisé l’ensemble de sa carrière dans le secteur de l’immobilier, dans l’univers de la gestion locative. Tout débute au sein de Foncia en 1996. À partir de 2001, elle y occupe successivement les postes de directrice et attachée de direction en gestion locative. En 2011, Krystel devient directrice de patrimoine de Ammonitia. En 2016, elle prend la direction de Foncia Property management dont elle est nommée présidente deux ans après.

 

Changement à la présidence du groupe « Next Gen » du CNCC

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Le groupe « Next Gen » lancé par le CNCC en 2017 sera co-présidé à partir de mai 2019 par Charlotte Journo-Baur et Stanislas Richardot. Charlotte Journo-Baur (29 ans) est la CEO et fondatrice de Wishibam. Avant de monter son entreprise, cette jeune diplômée de l’EM Lyon Business School et de l’Université de Shanghai a fait ses classes en conseil en stratégie chez A.T. Kearney. Elle est membre de la FrenchTech. Stanislas Richardot (35 ans) est le président de John Taylor Capital Markets. Cet ingénieur diplômé de l’INSA Lyon a occupé précédemment des postes de portfolio, asset et investment manager notamment au sein d’AEW Europe et de Groupama Immobilier. Il est membre de la commission high street du CNCC.
« Je tiens à remercier Pauline Duval et Vincent Dreux qui ont lancé avec succès le groupe Next Gen du CNCC, précise Gontran Thüring, délégué général du CNCC. Je suis convaincu que Charlotte et Stanislas poursuivront les actions engagées, notamment au travers d’after-work et de master-class. Ils développeront par ailleurs les relations avec les groupes Next Gen des autres conseils européens et ont le projet, que nous soutenons, de lancer une course « vertical run » dans un centre commercial. Le CNCC a plus que jamais besoin de l’imagination et du dynamisme de la jeune génération pour stimuler ses actions en faveur d’une filière qui doit se renouveler en permanence. »

 

WeMaintain lève 7 millions d’euros

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©D.R.

Après un premier tour de table de 1,8M€ en 2018, WeMaintain lève 7M€ auprès d’Idinvest Partners, de Raise Ventures et de ses actionnaires historiques tels que Michaël Benabou et Spice Capital. Cette opération doit permettre à la start-up de renforcer sa présence sur la région parisienne et d’accompagner ses clients au niveau mondial. L’expérience internationale de ses trois co-fondateurs, qui ont passé la majeure partie de leur carrière entre l’Asie et les Etats-Unis, sera utile. Avec l’arrivée d’Idinvest Partners et de Raise Ventures à son capital, WeMaintain pourra également s’appuyer sur leur expertise ainsi que sur leurs réseaux à l’international.
« La disruption digitale de la maintenance des bâtiments grâce à plateforme SAAS WeMaintain cadre parfaitement avec notre stratégie d’investissement, explique Matthieu Bonamy, managing director d’Idinvest Partners. Le modèle est maintenant démontré pour les techniciens et les gestionnaires de bâtiments. » Idinvest Partners et Raise Ventures ont été conseillés par Lamartine Conseil et 2Cfinance. WeMaintain a été conseillé par Orrick, Herrington & Sutcliffe LLP (Tech Companies Group practice) et Parallel Law.
WeMaintain compte déjà Allianz Real Estate, Groupama Immobilier et AXA Investment Managers- Real Assets parmi ses clients. elle assure ainsi la maintenance d’ascenseurs de plusieurs sièges sociaux et de bâtiments dans le quartier central des affaires parisien. La start-up s'appuie sur ses échanges avec les acteurs de l’immobilier pour répondre à leurs problématiques de transformation digitale. « Nous co-construisons le modèle avec les clients. Notre approche est très concrète et pragmatique, explique le CEO Benoit Dupont. Par exemple, un client souhaitait des informations liées à l’ascenseur pour mieux connaître la vie de ses immeubles. Nous avons ainsi développé des capteurs IoT. Les données extraites ont pris tout leur sens une fois combinées à l’activité terrain des techniciens. L’avenir dans ce secteur où la personne clé n’est pas automatisable n’est pas l’ascenseur connecté, mais bien le technicien augmenté. »

 

La Poste loue 22 000 m² à Wissous

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Nouvelle prise à bail pour Argan avec la relocation d’un entrepôt de 22 000 m² situé sur la commune de Wissous, en bordure des pistes de l’Aéroport de Paris Orly. Précédemment loué au groupe Fnac et libéré suite à sa fusion avec Darty, cet entrepôt est désormais loué en intégralité à Locaposte, filiale de la foncière Poste-Immo, dans le cadre d’un bail de 10 ans à compter de ce mois d’avril. Ce site sera dédié à la distribution de colis. Lors de cette transaction, le preneur était conseillé par BNP Paribas Real Estate.

 

Perial AM signe le Centraix pour PFO

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Perial Asset Management, pour le compte de sa SCPI PFO, s’est porté acquéreur auprès d’une foncière privée d’un immeuble mixte situé dans le centre-ville d’Aix-en-Provence (13), pour un montant de 22 M€. Baptisé Centraix, l’immeuble à usage de bureaux et de commerces développe une surface de 9 350 m² répartis sur un rez-de-chaussée, 3 étages et 4 niveaux de sous-sol à usage de parking. Il est classé ERP 2ème catégorie. L’actif est loué à 100 % à dix locataires dont Super U, le Centre national de la fonction publique territoriale, un centre de formation dédié aux métiers du numérique, et le département des Bouches-du-Rhône. « Cet investissement dégage un rendement net initial de 6,75%, et illustre la capacité de notre équipe investissement à identifier des actifs de qualité en région, dotés d’un très bon rapport rendement / risque », précise Yann Guivarc’h, directeur général de Perial Asset Management.
Dans cette transaction, Perial Asset Management était accompagné par l’étude Oudot & Associés et le vendeur par l’étude Feraud et Voglimacci. Cette opération a été réalisée par l’intermédiaire de ARP.

 

Covivio cède un portefeuille de 263 M€ et lance un bâtiment de 20 000 m² en Italie

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L'actif de via Montebello ©D.R.

Covivio annonce la signature d’un accord de cession d'un portefeuille d'actifs matures et non-core, dont un immeuble situé via Montebello à Milan, et 9 autres actifs localisés à Rome, Bologne, Venise et dans d'autres villes italiennes, et ce pour un montant de 263,5 M€. Cette cession, réalisée légèrement au-dessus des valeurs d’expertise de fin 2018, affiche un rendement net d'environ 4,9 % (4,3% sur la base des loyers en place). Le transfert des actifs sera effectif en décembre 2019.
L'actif de via Montebello est un bâtiment core mature de 18 000 m² situé dans le QCA de Milan. Cet immeuble, acquis par Covivio en 2002 dans le cadre d’une opération de sale & leaseback réalisée auprès d’une grande banque italienne, a fait l'objet d'un programme de rénovation en 2017. La cession de cet ensemble illustre la stratégie d’asset management de Covivio. Le reste du portefeuille est constitué de neuf immeubles de bureaux, situés dans des villes secondaires d’Italie, qui totalisent quelque 38 000 m² et affichent un taux d’occupation de 98 %.
Covivio a également pré-loué plus de 30 % du troisième bâtiment (20 000 m²) du programme Symbiosis à « une grande multinationale » qui y installera son siège social italien. Le bail d’une durée ferme de 10 ans (+6 ans au choix du locataire) représente un loyer annualisé de 2 M€. La construction du nouveau bâtiment représente un investissement total de 84 M€. Un rendement d'environ 7 % est visé.
« Nous nous concentrons sur le marché milanais et y déployons une gestion dynamique du patrimoine, qui repose notamment sur la cession des actifs matures ou non-core, précise Alexei dal Pastro, directeur général Italie de Covivio. Le fruit de ces cessions permettant à Covivio d’investir et de concevoir des immeubles dernière génération dans les secteurs les plus dynamiques de la capitale lombarde. » En Italie, Covivio dispose d’un pipeline de développement de 600 M€. Ce dernier se concentre à près de 90 % sur la ville de Milan.

 

Un premier trimestre record pour le marché tertiaire lyonnais

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Avec près de 94 000 m² commercialisés sur l’ensemble de l’agglomération lyonnaise, le marché tertiaire enregistre sa meilleure performance sur un premier trimestre. « La part des grandes transactions a été le facteur clé de la performance de ce trimestre, souligne Stéphane Jullien, directeur du département bureau Lyon. Il représente sur cette première partie d’année plus de 6 m² commercialisés sur 10. Plus de 59 000 m² ont été commercialisés sur ce segment de surfaces, dont 3 de plus de 5 000 m². »
L’offre immédiate repart légèrement à la hausse sur les trois derniers mois et repasse la barre des 300 000 m² disponibles sur l’agglomération lyonnaise. La tendance reste toutefois à la baisse sur un an (- 6 %). Le taux de vacance s’affiche désormais à 4,9 %. Les surfaces de dernière génération (moins de 5 ans) totalisent 118 000 m² disponibles, contre 111 000 m² à la même période l’année dernière, soit une hausse de 6 %. Les locaux de seconde main accusent, quant à eux, une baisse de 13 % avec 186 000 m² actuellement vacants sur l’agglomération lyonnaise. JLL note que 45 000 m² de nouvelles surfaces tertiaires sont venues agrémenter le parc lyonnais depuis le début de l’année dont 65 % étaient déjà précommercialisées à la livraison. 69 000 m² sont encore en chantier et devraient être finalisés d’ici la fin de l’année, dont près de la moitié ont déjà trouvés preneurs. Si les chantiers ne prennent pas de retard, le parc lyonnais devrait atteindre les 6 278 000 m2 d’ici la fin de l’année.
Le loyer « prime » augmente sur un an et atteint 325 € HT-HC/m2/an sur la tour « To Lyon » qui s’élèvera sur le parvis de la gare Part-Dieu d’ici 2023. Dans les immeubles traditionnels du secteur, la valeur prime reste établi à 280 €. La situation de pénurie avérée dans le quartier de la Part-Dieu engendre d’ores-et-déjà une hausse des loyers dans le seconde-main et le récent de qualité. Le secteur de la Presqu’Ile Nord voit également son loyer prime progresser à 310 € notamment sur les immeubles historiques restaurés Quai Jules Courmont situés - dans le centre historique de Lyon. JLL retient la stabilité des valeurs locatives dans les principaux secteurs périphériques.
« Nous restons confiants pour l’année 2019, conclut Laurent Vallas, directeur JLL Lyon & Régions. Il n’est pas impossible d’atteindre une seconde année record. De nombreux grands projets sont avancés et le seuil des 350 000 m² pourraient être atteint. Le passage des 300 000 m² ne serait donc pas un heureux « accident » de parcours, mais un véritable changement de dimension pour le marché lyonnais. Nous sommes maintenant en concurrence avec des Eurocités comme Milan ou Barcelone, qui affiche une demande placée moyenne autour de 350 000 m² par an. »

 

89 % des Français favorables au travail flexible

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Globalement, 85 % des répondants à l’étude annuelle menée par International Workplace Group (IWG) en collaboration avec l’institut MindMetre Research estiment que leur entreprise est plus efficace grâce aux bénéfices du travail flexible. Ce nombre grimpe à 89 % en France. Ainsi, 51 %– soit 14 % de plus que la moyenne mondiale - considèrent que le travail flexible permet à leur entreprise de se développer. Cette évolution est à relier à l’explosion du nombre d’espaces de coworking. S’ils ne sont à l’heure actuelle pas majoritaires dans le paysage de l’immobilier de bureaux, la tendance est positive « et il y a fort à parier que ces tiers-lieux s’implanteront de manière pérenne lors des prochaines années », selon IWG.
« La nouvelle édition de l’étude réalisée par IWG montre que les professionnels sont désormais massivement sensibilisés aux bénéfices du travail flexible, précise Christophe Burckart, directeur général d’IWG France. Face aux récents défis économiques et environnementaux, ils ont compris que les nouveaux modes de travail représentaient une alternative de choix pour conjuguer productivité et bien-être au travail. » En effet, 76 % des Français jugent « important » le critère de l’environnement de travail, dans le choix de leur entreprise. Cela leur permet notamment de réduire la durée des trajets domicile-bureau (84 %). Toutefois, 17 % des entreprises n’envisagent pas encore d’intégrer le télétravail ou le coworking dans leur fonctionnement.
 

Par François Perrigault (@fperrigault)

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