HSBC REIM qui signe le Native à Saint-Quentin-en-Yvelines, Maurice Sissoko en passe de devenir le nouveau DG de Citallios, l’annonce des 2 groupements finalistes pour la réalisation du village des athlètes sur le secteur de L’Île-Saint-Denis… Décideurs vous propose une synthèse des actualités immobilières du 9 mai.

 

HSBC REIM acquiert l’immeuble Native en VEFA à Saint-Quentin-en-Yvelines

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L’immeuble Native développé par Codic à Saint-Quentin-en-Yvelines est vendu en VEFA à la SCPI Elysées Pierre. L’immeuble, déjà préloué à 85% par Orange, développera une surface de 19 000 m² sur 9 niveaux et 3 niveaux de sous-sol. Le permis de construire a été obtenu en juillet 2018. Le début des travaux est prévu en juin 2019 pour une livraison en novembre 2021.
Dans le cadre de cette opération de démolition-reconstruction, située sur l’avenue du Centre, au pied de la Gare RER, l’immeuble a été dessiné par l’architecte Bruno Willerval. Il doit permettre l’intégration des nouveaux usages du bureau : tiers lieux, terrasses connectés, espaces réversibles, services connectés. Les certifications BREEAM, HQE et WiredScore sont visées. Cette transaction a été réalisée par l’entremise de CBRE Capital Market dans le cadre d’un mandat co exclusif avec BNP Paribas Real Estate. Le vendeur était conseillé par l’étude TSD Notaires et le cabinet Brun et Associés. L’acquéreur était conseillé par l’étude Allez et Associés et le cabinet Clifford Chance.
« Avec un locataire de qualité et un emplacement de premier ordre, cet actif répond pleinement à la stratégie d’Elysées Pierre de s’inscrire dans la pérennité, explique Patricia Dupont Lievens, directrice générale HSBC REIM. Au vu de sa qualité architecturale, de ses labels et de la rationalité de ses plateaux, nous sommes pleinement confiants quant à la commercialisation du plateau de bureau vacant et des commerces avant la livraison. » Et Yann Le Gall, directeur général adjoint, Codic France, de conclure : « Nous œuvrons depuis maintenant 15 ans au renouveau de SQY avec la réalisation de plus de 100 000 m². Cette ancienne ville nouvelle a su tirer profit de son positionnement stratégique dans l’ouest parisien pour attirer bon nombre de grandes entreprises à la recherche de salariés qualifiés. Cette opération restera une référence sur ce secteur de par sa localisation, la qualité de sa conception et l’intégration des nouveaux usages du bureau. Nous avons l’ambition avec HSBC REIM de clôturer la commercialisation du solde bien avant la livraison ! »

 

Gecina adopte la signature électronique des baux

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Gecina poursuit le développement de son offre de services en proposant à ses clients une solution de signature électronique des baux. Ce nouveau service conclu en partenariat avec la start-up YouSign est étendu à l’ensemble des immeubles d’habitation et des résidences pour étudiants de la foncière et représente plus de 97 % des baux signés depuis le début du mois de mars. Gecina signe en moyenne 4 000 baux par an sur son patrimoine résidentiel.
« Opter pour la signature électronique est un signal fort pour notre groupe qui ambitionne de tendre vers le zéro papier. Initialement déployée sur le patrimoine résidentiel, nous souhaitons que cette solution soit étendue à l’ensemble des actes : baux commerciaux, lettres de commande et ses annexes, mandats de commercialisation…, commente Frédéric Vern, secrétaire général de Gecina.  Nous nous réjouissons d’avoir franchi récemment une nouvelle étape avec la signature électronique d’un premier bail commercial sur un immeuble de bureaux ainsi que d’une première lettre de commande avec une entreprise de travaux. »

 

Village des athlètes : deux groupements en finale sur le secteur de L’Île-Saint-Denis

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L'écoquartier fluvial (© Pierre-Yves Brunaud/Plaine Commune Développement)

Quelques jours après l’annonce par la Société de livraison des ouvrages olympiques (Solideo) des groupements candidats admis à remettre une offre pour deux secteurs de la ZAC « village olympique et paralympique », Plaine Commune Développement informe que le jury a retenu les deux groupements suivants pour la seconde phase de consultation sur le secteur de L’Île-Saint-Denis (46 800 m² environ de surface de plancher) : Pichet/ Legendre et Région Capital REIM/ Groupe Duval/ Amétis / Promoteurs du Grand Paris (MDH Promotion – Becarre – Paris Ouest Promotion – Pierre Etoile). Le choix du lauréat interviendra en novembre 2019.
Le village des athlètes occupera temporairement les constructions réalisées dans le cadre de deux ZAC situées dans le département de la Seine-Saint-Denis : la ZAC du Village olympique et paralympique sur les communes de Saint-Denis et Saint-Ouen-sur-Seine qui est en cours de création et réalisée sous maitrise d’ouvrage de la Société de livraison des ouvrages olympiques (Solideo) ; la ZAC de l’écoquartier fluvial de L’Île-Saint-Denis, créée en 2009 et en cours d’aménagement par la SEM Plaine Commune Développement. Entrée en phase opérationnelle en 2013, avec la démolition des entrepôts du Printemps, la première phase d’aménagement de la ZAC de l’écoquartier fluvial de L’Île-Saint-Denis (près de 300 logements) est actuellement en cours de livraison. Les phases 2 et 3 (six hectares) accueilleront provisoirement une partie du village des athlètes.

 

GSE reconvertit un bâtiment industriel de 46 000 m² à Douvrin

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Le groupe Bils-Deroo a confié à GSE la conception et la réalisation de la transformation des anciens ateliers de la Française de Mécanique à Douvrin dans le Pas-de-Calais (62). Le projet, qui a été livré le 29 avril dernier, comprend la création d’un entrepôt de stockage logistique composé de 2 cellules de très grandes surfaces (23 483 m² et 22 236 m²). Plusieurs scénarios de transformation ont été étudiés afin de respecter le cadre réglementaire en vigueur, notamment en matière de sécurité incendie. Comme pour une étude d’ingénierie classique, l’espace a été modélisé en 3D via l’utilisation du BIM (Building information modeling), en tenant compte des critères d’exploitation et les scénarios d’étude définis. GSE a travaillé en collaboration avec les équipes du Service départemental d’incendie et de secours (SDIS) du Pas-de-Calais, avec le responsable de la gestion du patrimoine de la société Bils-Deroo « afin de créer une solution économiquement soutenable et réglementairement acceptable, pour permettre une mise à niveau des systèmes de mise en sécurité incendie qui s’intègre dans le projet de rénovation ». Cette solution nécessitant une étude spécifique, la société GSE a sollicité l’expertise du Centre national de prévention et de protection (CNPP).
« L’évolution de la réglementation sur la taille des cellules non recoupées que GSE contribue à promouvoir, ouvre de nombreuses perspectives pour la reconversion, la rénovation ou la restructuration de sites industriels ou logistiques anciens et obsolètes, explique Thierry Pinchinot, directeur commercial chez GSE. GSE, par son savoir-faire sur ces opérations de remodeling, accompagne ses clients et détenteurs de patrimoine pour redonner une nouvelle vie à ces bâtiments. »

 

Colliers International France aménage le nouveau siège de Bostik à Colombes

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Bostik, société spécialisée dans les solutions de collage destinées aux marchés de l'industrie, de la construction et du grand public, a choisi Colliers International France pour l’accompagner dans son projet de nouveau siège social de 4 500 m² au sein du bâtiment Défense Ouest à Colombes.
A l’origine du projet Arkema, maison mère de Bostik, souhaitait réunir sur un même site l’ensemble de ses implantations situées en région parisienne. C’est avec l’objectif de faire évoluer les modes de travail et de « décloisonner » que Bostik et Colliers International France ont collaboré ensemble. Projet porté par la direction générale, les quatre étages du groupe sont aménagés en open space offrant différentes typologies d’espaces : des postes attribués, des lieux d’échanges ouverts, des bulles de différentes tailles permettant différents usages, une salle silence, des salles de réunions, un Lab (centre de recherche pour la communication), un work café et même un forum. Les plateaux lumineux bénéficient d’une vue panoramique à 360° sur la Défense et ses environs.
Colliers International France a proposé une offre complète afin d’accompagner Bostik sur l’ensemble du projet immobilier : cadrage stratégique, conception des aménagements, space-planning, architecture d’intérieur, conseil en accompagnement au changement, gestion de projet, AMO, achat mobilier et transfert en contractant général. « Ce projet a fait l’unanimité auprès de nos collaborateurs », souligne Laurent Selles, directeur des ressources humaines et communication corporate de Bostik.
L’architecte d’intérieur de Colliers International France Marielle Hatem a tenu à décliner la signature « smart adhesives » de Bostik. Cela se traduit par une scénographie pensée qui, au fur et à mesure de l’évolution du collaborateur ou visiteur dans les locaux, offre à voir les produits Bostik mais aussi les différents affichages de communication qui rythment les circulations. Une attention particulière fut apportée au traitement de l’éclairage avec l’installation dans les bulles et les salles de réunions de luminaires techniques réglables en intensité selon les usages de ces pièces. Les plateaux présentent une spécificité sous forme de rotonde. Les postes de travail s’y organisent en espace ouvert autour d’un ilot central. Ce dernier regroupe un ensemble de bulles : espaces de réunions ponctuelles ou de concentration. Colliers International France s’est inspiré des codes couleurs Bostik : le bleu marine et l’ocre jaune avec une introduction ponctuelle de bois. Le mobilier retenu est évolutif et flexible et a pour objectif, en plus de l’ergonomie, d’offrir aux collaborateurs la possibilité de s’approprier les lieux en y exposant leurs produits. Au-delà de l’aspect esthétique, Colliers International France a proposé des espaces au service de chacune des Business Units de Bostik. « Avec un nouveau siège social en phase avec l’ADN de la marque, Bostik entend insuffler un nouvel élan en termes d’organisation afin de gagner en interaction et innovation », conclut le communiqué de presse.

 

Vinci Immobilier livre deux hôtels sous enseignes Accorhotels à Saint-Etienne

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(©Thierry d’Istria)

Après 20 mois de travaux, Vinci Immobilier, en co-promotion avec le groupe Cardinal, a livré à la société Saint-Etienne Investissements, deux hôtels sous enseignes Accorhotels, un Ibis Budget 2* et un Novotel 4* dans le quartier d’affaires de Châteaucreux. Ces hôtels avaient été acquis en juillet 2017 par BpiFrance Financement et Natiocreditbail, pour le compte de la société Saint-Etienne Investissement. Situé face à la gare TGV de Saint-Etienne, le Novotel 4* de 77 chambres propose un hall vitré double hauteur donnant sur la gare, un espace bar/petit-déjeuner ouvert sur une terrasse végétalisée accessible au public de 430 m², une salle de fitness, des espaces de co-working et 20 places de parking. L’Ibis Budget 2* de 84 chambres dispose d’un accès direct au bar du Novotel et de 20 places de parking.
« Imaginés par le cabinet d’architecture E.C.D.M, ces hôtels à l'architecture et aux coloris lumineux viennent compléter le renouveau architectural du quartier en créant une entrée de ville, précise le communiqué de presse. Le rouge des façades s’inspire de la colorimétrie de la gare et une attention particulière a été apportée à celle du Novotel, composée d’écailles cuivrées, assemblées manuellement une à une. »
Une sculpture murale sur-mesure, dessinée par Thierry d’Istria, représente un origami en bois et habille le hall d’entrée. Dans le cadre de la charte « 1 immeuble, 1 œuvre », signée en 2015 par Vinci Immobilier, sous l’égide du ministère de la Culture, l’artiste Lilian Bourgeat a réalisé « Le double banc », une œuvre monumentale de 2,60 m de long, située sur le parvis central qui entoure l’ensemble des programmes et directement visible depuis la gare TGV.
Ce projet immobilier s’inscrit dans le programme de renouvellement urbain du quartier «Post Weiss», développé par Vinci Immobilier en co-promotion avec le groupe Cardinal, comprenant 49 logements en accession, 26 logements sociaux vendus à Alliade Habitat, 15 000 m² de bureaux dont 10 000 m² vendus à la CPAM et 1 500 m² de commerces.

 

Première baisse de la fréquentation touristique depuis deux ans en France

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Au premier trimestre 2019 en France métropolitaine, la fréquentation des hébergements collectifs touristiques, exprimée en nuitées, recule de 2,5 % par rapport au premier trimestre 2018 selon l’Insee. Cette baisse fait suite à plus de deux ans de hausse continue de la fréquentation touristique, et notamment à une hausse de +2 % sur un an au trimestre précédent. Le recul est marqué pour la clientèle ne résidant pas en France (−4,8 %). La fréquentation des résidents diminue également (−1,5 %).
Au premier trimestre 2019, les nuitées dans l’hôtellerie diminuent de 1,3 % en glissement annuel, après une hausse de 1,5 % au trimestre précédent. Cette baisse interrompt une progression continue depuis le quatrième trimestre 2016. La baisse de fréquentation concerne surtout les hôtels classés en 1 et 2*. Toutefois, certains établissements, n’ayant pas renouvelé leur demande de classement auprès d’Atout France, deviennent non classés, ce qui génère un report de la fréquentation vers cette catégorie d’hôtels. Parmi les hôtels classés, seuls les hôtels de haut de gamme (4 et 5*) maintiennent leur niveau de fréquentation. La fréquentation hôtelière des non-résidents baisse fortement (−3,4 %), alors que celle des résidents est en léger recul (−0,4 %). Les nuitées diminuent nettement dans les hôtels situés en Île-de-France (−4,6 %), pour les non-résidents comme pour les résidents, probablement en lien avec le mouvement social des gilets jaunes. Dans les espaces urbains de province, la baisse est moindre (−0,8 %), aussi bien pour les résidents que les non-résidents. Dans les massifs de ski, la fréquentation des non-résidents reste dynamique (+4,2 %) et permet de contenir la baisse des nuitées (−0,5 %), alors que la fréquentation des résidents chute (−3,1 %). En revanche, la fréquentation augmente dans les autres espaces (+1,6 %), et surtout sur le littoral (+4,8 %), grâce à la clientèle résidente qui a probablement profité des conditions météorologiques très clémentes de ce début d’année.
La fréquentation des autres hébergements collectifs touristiques (AHCT) diminue nettement par rapport au même trimestre de 2018 (−4,5 %) alors qu’elle était en hausse au trimestre précédent (+3,6 % sur un an). La fréquentation dans les AHCT est pénalisée par le recul, dans les massifs de ski, de la clientèle résidente (-7,6 %) comme non résidente (−8,2 %) en pleine saison de sport d’hiver. Les nuitées des non-résidents baissent également dans tous les autres espaces, notamment dans les zones urbaines d’Île-de-France (−7,8 %) ou de province (-3,8 %), sur le littoral (−13,5 %) et encore davantage dans les autres espaces (−24,1 %) où cependant le nombre de nuitées est bien moindre.

 

Les Français peuvent acheter 36 % de m² supplémentaires par rapport à 2008

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Le pouvoir d’achat immobilier des ménages en France est au beau fixe, selon l’indicateur de BNP Paribas Real Estate, construit à partir de l’évolution du prix de l’immobilier, des revenus des ménages et des conditions d’emprunt depuis 1985. « La capacité d’acquisition immobilière des ménages a considérablement évolué de 2008 à 2018, progressant de +36 % sur l’ensemble de la France. Sur cette période, les prix des logements ont légèrement augmenté tandis que les revenus ont modérément progressé, mais la baisse des taux d’emprunt, passés de 4,7 % en moyenne en 2008 à 1,4 % en 2018, explique la majeure partie de la forte capacité d’acquisition des ménages aujourd’hui », explique Olivier Bokobza, directeur général du pôle résidentiel de BNP Paribas Real Estate.
En régions, la capacité d’acquisition immobilière des ménages sur la même période 2008-2018 est modérée à Lyon (+9 %) et à Paris (+10,5 %). A Bordeaux, le pouvoir d’achat immobilier est resté relativement stable (-0,4 %). En 2018, la hausse des prix des logements, qui a atteint +3,2 % sur l’ensemble de la France (source Notaires-Insee), n’a pas enrayé une dynamique positive pour les Français, dont la capacité d’acquisition affiche une légère augmentation (+1 %) par rapport à 2017. En effet, le revenu des ménages est resté stable (+0,2 % selon l’Insee) et les conditions d’emprunt se sont légèrement améliorées (avec en moyenne des taux de crédit à 1,44 % pour des durées de 19 ans selon Crédit Logement CSA). « Même si la hausse des prix s’observe dans la plupart des métropoles régionales en 2018, son rythme d’évolution, et en conséquence celle de la capacité d’achat, reste très différenciée selon les localisations en France, relève BNP Paribas Real Estate. Bordeaux est en tête des progressions annuelles de prix (+17,2 %), suivi par Rennes (+9,6 %), Lyon (+8,3 %) et Paris (+5,7 %) (source Notaires de France) ». Au sein de la Région Parisienne, c’est essentiellement la Petite Couronne (+4,9 %) qui capte la hausse des prix, au détriment de la Grande Couronne (+1 %). Pour 2019, le conseil table sur une poursuite de la bonne dynamique des marchés du logement en France. « D’une part, même si la croissance du produit intérieur brut ralentit, elle devrait rester résiliente et suffisante pour permettre une hausse de l’emploi et un renforcement du pouvoir d’achat des ménages, anticipe Guillaume Joly, directeur du département research France de BNP Paribas Real Estate. D’autre part, les taux d’intérêt à long terme s’installent à des niveaux durablement bas, compte tenu des récentes positions des banques centrales. Ainsi, les conditions d’emprunt vont certainement rester très favorables au cours des prochains trimestres. » Dans ce contexte, la hausse du prix des logements va certainement se poursuivre en 2019, après des évolutions encore significatives pour l’année 2018, tant pour l’ancien (+3,3 %) que pour le neuf (+3,2 %). « La hausse des prix immobiliers observée depuis deux ans est assez saine, puisque guidée par une demande structurellement forte et des conditions de financement durablement attractives, conclut Olivier Bokobza. Pour 2019, on peut raisonnablement tabler sur une progression des prix de l’ordre de 2 % pour l’ensemble des logements neufs et anciens en France. »

 

Maurice Sissoko en passe de devenir le nouveau DG de Citallios

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Maurice Sissoko, précédemment membre du comité exécutif d’Icade en charge du pôle promotion et directeur général d’Icade Promotion, est appelé à rejoindre Citallios pour en prendre la direction générale à compter du 1er juillet 2019.
Maurice Sissoko est inspecteur général des finances, diplômé́ de l’École nationale des impôts. Après une première partie de carrière au ministère de l’Économie et des Finances, au sein de la direction générale des impôts, puis à l’inspection générale des Finances de 2001 à 2005, il rejoint le groupe Caisse des Dépôts comme directeur des prêts et de l’habitat du fonds d’épargne. Il y redresse et diversifie l'activité de prêts (financement des logements sociaux, d'EPHAD logements étudiants, d’infrastructures de transport, d’hôpitaux, PPP et missions d'intérêt général). Il prend en 2008 de nouvelles fonctions chez Icade, filiale immobilière cotée de la Caisse des Dépôts, où il devient membre du comité exécutif : en charge du pôle services à l'immobilier (asset, property et facility management, résidences étudiantes, activités administration de biens, ingénierie), il le restructure pour en faire un pôle BtoB. Il prend ensuite la direction générale du GIE Informatique CDC et la présidence des filiales numérique du Groupe CDC en 2010, pour restructurer l'IT et porter le plan numérique du Groupe Caisse des dépôts.
Membre du Comité de direction du Groupe CDC, il est également administrateur puis président de la SCET, représentant de la CDC au conseil d’administration, d’Icade puis, de juillet 2015 à juillet 2016, conseiller du directeur général de la Caisse des dépôts en charge d'une mission sur l'immobilier du groupe et de la création d'une société foncière publique. Depuis juillet 2016, Maurice Sissoko était, chez Icade, membre du comité exécutif en charge du pôle promotion et directeur général d’Icade Promotion, dont il a contribué au développement en diversifiant notamment le portefeuille d’activités.
« Acteur reconnu du marché de l’immobilier en Ile-de-France, Maurice Sissoko sera en mesure d’apporter chez Citallios une vision extrêmement dynamique du métier de l’aménagement, associant aux valeurs fondamentales d’intérêt général qui animent la SEM une ambition forte en matière notamment de positionnement offensif sur ses nouveaux métiers, parmi lesquels la promotion immobilière, détaille le communiqué de presse. Deux ans et demi après la création de Citallios, première SEM d’aménagement d’Ile-de-France, Maurice Sissoko sera en capacité d’impulser à la SEM un nouvel élan, tant sur les nouveaux modes de production de la ville intégrant les problématiques de développement durable que sur ses métiers traditionnels au service des élus de proximité, au premier rang desquels figurent ses expertises en renouvellement urbain et en action sur les cœurs de ville. »

 

Goodwin se dote d’un pôle droit immobilier à Paris avec l’arrivée de Sarah Fleury

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Le cabinet d’avocats international Goodwin annonce la création d’un département de droit immobilier à Paris avec l’arrivée de Sarah Fleury, associée, accompagnée de son équipe.
« La création d’un département spécialisé à Paris, dirigé par Sarah Fleury, va permettre de répondre aux besoins d’investissement et de financement des clients, composés de fonds d’investissement, sociétés de gestion de portefeuilles, groupes industriels (cotés ou non), startups, institutions financières, ou encore dirigeants d'entreprises », précise le communiqué de presse.
Avocate spécialisée en droit immobilier, Sarah Fleury conseille les investisseurs français et étrangers à l’occasion de leurs transactions immobilières. Elle intervient sur des opérations d’investissements transfrontaliers. A l’instar des modèles développés avec succès à Londres et à Francfort, le cabinet choisit, avec ce recrutement, de miser sur les synergies entre le private equity, le corporate finance et l’immobilier, et de proposer des solutions transversales aux investisseurs, promoteurs et innovateurs.
« L’arrivée de Sarah Fleury s’inscrit parfaitement dans la stratégie du cabinet et du bureau parisien d’affiner son offre sur les classes d’actifs qui feront l’objet d’investissements majeurs dans les années à venir, complète Maxence Bloch, managing partner du bureau de Paris. Sa solide expertise en immobilier, associée à une vision entrepreneuriale du métier et une forte approche collaborative, sont des atouts précieux. »

Par François Perrigault (@fperrigault)

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