Le coup d’envoi du projet e-Valley à Cambrai, le projet de la Gare du Nord qui va être retravaillé par quatre experts, l’Etat qui enterre le projet EuropaCity… Décideurs vous propose une synthèse des actualités immobilières du 7 novembre.


Gecina finalise l’acquisition du Carreau de Neuilly

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Gecina a signé un acte d’échange d’actifs avec la Caisse de retraite du personnel navigant (CRPN) lui permettant d’acquérir l’immeuble Carreau de Neuilly situé au 106-116 avenue du Général de Gaulle à Neuilly-sur-Seine, sur l’axe historique du QCA reliant les Champs Elysées à La Défense, pour un montant de 306 M€ hors droits. Cet immeuble de bureaux, occupé à 90 %, développe une surface de plancher d’environ 34 000 m². En contrepartie Gecina cède deux immeubles de bureaux intégralement loués à Neuilly et à Paris pour un montant total de 238 M€ hors droits. Le différentiel de prix fait l’objet du paiement d’une soulte.

 

Keys AM acquiert un ensemble immobilier mixte de 9 500 m² à Suresnes

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Le groupe Keys Asset Management annonce l’acquisition, pour le compte de l’un de ses fonds, d’un ensemble immobilier mixte de bureaux et commerces, auprès de la MAIF (représentée par Swiss Life Asset Managers). Situé en bord de Seine au cœur du pôle Péri Défense à Suresnes, l’ensemble immobilier compte deux bâtiments de trois et cinq étages, d’une surface locative de près de 9 500 m², assortis de 333 parkings. Situé sur les quais de Seine et livré en 2009 par Cogedim, l’actif immobilier propose des plateaux traversants de 1 000 m² divisibles et de terrasses avec vue sur La Défense et la Seine. Il est certifié HQE Exploitation niveau « Très Bon ». L‘actif accueille le principal point de vente du spécialiste du jardinage « Botanic », qui occupe la totalité du bâtiment principal. Le second immeuble, essentiellement à destination de bureaux est occupé par huit locataires, dont une crèche et une surface de commerce occupée par MaCaille, restaurant lounge du chef Norbert Tarayre. Dans cette transaction, Swiss Life Asset Managers France était représenté par les Notaires du Trocadéro ainsi que par JLL dans le cadre d’un mandat co-exclusif avec BNP Paribas Real Estate. Keys Asset Management était conseillé par l’étude Allez et Associés, Elan et BG2V.99. Le financement a été assuré par la BECM (Banque européenne du Crédit Mutuel).

 

AXA IM – Real Assets et Redman inaugurent Sens à La Défense

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AXA IM – Real Assets et Redman ont inauguré l’immeuble Sense à Paris La Défense. L’investisseur avait acquis en 2016, pour le compte de l’un de ses clients, le site de développement immobilier visant la reconversion d’un immeuble de grande hauteur (IGH) vieillissant en un nouvel immeuble de bureaux de plus de 19 000 m². Lancés en janvier 2017, les travaux ont duré 34 mois (démolition, terrassement et chantier) pour développer cet ensemble immobilier situé au pied de La Défense. Sense vient ainsi remplacer l’ancienne Tour Norma. Ensemble de sept étages de bureaux plus mezzanine et espaces de propose une façade blanche toute en courbes. A l’intérieur, sous la lumière naturelle, la nature s’est installée. Une succession de terrasses en cascade et un patio central apportent sur 1 400 m² des paysages au sein de l’environnement de travail. SENSE propose également un coffee shop, un restaurant d’une capacité de 800 couverts avec une offre, traditionnelle, diététique ou encore événementielle. Un auditorium, une conciergerie d’entreprise complète l’ensemble des services proposés. Les choix architecturaux et constructifs retenus pour SENSE satisfont aux critères des certifications NF Bâtiments Tertiaires – Démarche HQE niveau excellence et BREEAM International Niveau Very Good ; Well Core & Shell et WiredScore niveau silver.

 

Coup d’envoi du projet e-Valley à Cambrai

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David Taieb, PDG d’e-Valley a posé la première pierre du parc e-Valley à Cambrai dans les Hauts-de-France, en présence de Franck Dondainas, président-fondateur du groupe Quartus, et de Jean-Louis Foessel, directeur général de Quartus Logistique. L’ensemble sera déployé sur 320 hectares, avec plus de 700 000 m² d’entrepôts et une zone de service et d’activités commerciales de 85 000 m². Quartus Logistique livrera début 2021 la première tranche du projet, d’une surface de 240 000 m². E-Valley est une nouvelle plateforme e-logistique quadrimodale (route, fer, fluvial et drones) située sur l’ancienne base militaire de Cambrai (Hauts-de-France). D’ici 2024, 550 000 m² d’entrepôts seront ainsi proposés, avec une première livraison de 240 000 m² début 2021. Différents services seront proposés à terme (hôtel, restaurants, studio photos, bureaux partagés, sous-traitants des métiers du e-commerce et de la logistique) et 1 300 emplois créés. L’écosystème du parc sera entièrement dédié au e-commerce et au commerce hybride. Un système de cellules modulables de 6 000 à 700 000 m² offrira la possibilité de réserver des espaces de stockage évolutifs. « En donnant à Quartus Logistique la responsabilité de construire les quatre premiers bâtiments de e-Valley, le plus grand chantier d’immobilier logistique de l’année, nous nous positionnons sur un projet exceptionnel à plusieurs égards, commente Jean-Louis Foessel. Exceptionnel par sa taille, avec presque 800 000 m² à développer pour devenir le plus grand parc d’activités logistique en Europe. Exceptionnel par sa vision, avec un hub dédié au e-commerce et au commerce hybride. Exceptionnel par son ambition, dans cette région française la plus « logistic friendly » comme le démontre la présence de nombreux élus parmi nous. Exceptionnel enfin par sa symbolique, avec la reconversion d’un site militaire historique construit par les Allemands pendant la Première Guerre Mondiale, aujourd’hui au service de la nouvelle économie. »

 

L’Etat enterre le projet EuropaCity

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(©EuropaCity – Alliages & Territoires)

« L’Etat ne souhaite pas que le projet EuropaCity se poursuive ». Dans la foulée du Conseil de défense écologique, la ministre de la Transition écologique et solidaire Elisabeth Born a signifié jeudi la fin du programme porté par Alliage et Territoires au niveau du Triangle de Gonesse. « Tout d’abord, c’est un projet qui répond à une conception datée de l’aménagement du territoire et à un certain modèle de consommation qui ne répond plus aux attentes de nos concitoyens, a détaillé la ministre. Ensuite, c’est un projet qui implique d’augmenter le trafic automobile. Enfin, ce projet concourt à l’artificialisation de 80 hectares de terres agricoles. » Et d’ajouter : « Cette décision ne remet pas en cause la desserte du territoire prévue par la ligne 17. Et nous avons décidé de confier une mission à Francis Rol-Tanguy qui aura pour objectif de proposer avec les élus une vision d’avenir pour le territoire, et d’esquisser un autre projet. » Alliages & Territoires a réagi quelques heures plus tard en prenant acte de la déclaration d’Elisabeth Borne. La société contrôlée par Ceetrus (branche immobilière du groupe Auchan) et l’investisseur chinois Wanda Group considère que cette décision « est une erreur qui porte préjudice à l'avenir du Val d'Oise, alors que son projet de culture et loisirs est capable de créer à la fois une nouvelle dynamique territoriale positive et 10 000 emplois dans un territoire en attente de développement économique ». Et d’enfoncer le clou : « Décision prise en dépit d’une concertation locale exemplaire, sous l’égide de la Commission Nationale du Débat Public, depuis de nombreuses années. Cette décision est incohérente alors que c’est l’Etat qui a demandé à Alliages & Territoires de participer et de s’engager dans l’opération d’aménagement du Triangle de Gonesse qu’il pilote depuis l’origine. Cette décision est d'autant plus incohérente que l'Etat a fortement contribué à faire évoluer le projet vers une transition écologique vertueuse qui apporte de véritables solutions responsables pour atteindre l’artificialisation nette zéro par une compensation intégrale des espaces occupés, pour atteindre la neutralité carbone dès 2027 et la recréation de biodiversité ». Alliages & Territoires conclut : « Cette décision est également incohérente avec la volonté du Gouvernement d’attirer des investisseurs en France, car il n'y a pas d'investissements sans confiance dans la stabilité de la position de l'Etat et dans l'application de règles communes pour tous. »

 

Le projet de la Gare du Nord sera retravaillé par quatre experts

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(©Valode et Pistre)

La Ville de Paris a convenu, avec la SNCF et le Préfet de la Région Île-de-France, de missionner quatre experts pour retravailler le projet de la Gare du Nord : Anne Mie Depuydt, architecte, urbaniste et co-fondatrice d’UAPS ; Caroline Poulin, architecte et co-fondatrice d’AUC ; Jean-Louis Subileau, urbaniste, co-fondateur d’Une fabrique de la Ville et lauréat du Grand Prix de l’urbanisme en 2001 ; Pierre Veltz, ingénieur, sociologue, économiste et lauréat du Grand Prix de l’Urbanisme en 2017. Dans le cadre de l’instruction en cours du permis de construire et dans la perspective de l’enquête publique à venir, six thématiques seront abordées : « l'amélioration du fonctionnement de la gare et de l’intermodalité, notamment à une échelle plus vaste que le projet faisant l’objet du permis de construire ; les accès à la gare, complémentaires à ceux déjà proposés, notamment à l’ouest et au nord ; l’intégration urbaine du projet dans le quartier, particulièrement du côté de la rue du Faubourg Saint Denis, et la protection du patrimoine ; la dédensification du projet, sa diversification et la cohérence des services et des usages au regard des questions de la complémentarité avec le tissu urbain du quartier ; les ambitions environnementales, pour tendre vers le zéro carbone et le zéro déchet ; le renforcement du suivi citoyen, du dialogue avec les riverains, les usagers et les différentes parties prenantes pour la phase de chantier. » La Ville de Paris a obtenu l’accord de la SNCF et de Stationord pour que toutes les données nécessaires à ce travail soient mises à disposition des quatre experts. Les propositions sont attendues pour le 19 décembre 2019. La Ville de Paris les transmettra à toutes les parties prenantes du projet. Elles feront partie des éléments mis à disposition par la Ville de Paris pour l’enquête publique qui sera ouverte à la demande du Préfet dans les prochaines semaines, dans le cadre de l’instruction en cours du permis de construire qu'il doit délivrer. « Nous sommes convaincus qu’il existe des solutions à même de rendre plus confortables les parcours des voyageurs, d’ouvrir davantage la gare sur le quartier, d’optimiser l’intermodalité, de respecter le patrimoine ancien et plus récent et de limiter les nuisances tout en gardant l’objectif de rénovation de la gare pour 2024 », déclarent Jean-Louis Missika, adjoint à la Maire de Paris en charge de l’urbanisme et Alexandra Cordebard, maire du 10e arrondissement.

 

La CCI Paris Ile-de-France fait le point sur l’évolution du foncier productif en zone urbaine

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Après avoir estimé en 2018 qu’il fallait construire 1 million de m² de locaux d’activités et d'entrepôts par an dans la région capital, la CCI Paris Ile-de-France a fait le point en se basant sur de nouvelles données. La construction d’entrepôts a atteint l’objectif en 2016 puis explosé en 2017. Cette croissance qui est portée par le e-commerce et la logistique du dernier km devrait se poursuivre en 2020. Les permis de construire et les agréments délivrés par la préfecture de Région en sont les indicateurs avancés probants. En revanche, pour les locaux d’activités, le compte n’y est pas : le volume reste en dessous de l’objectif en 2016 puis chute en 2017. « En deux années, ce sont 260 000 m² qui manquent par rapport à nos prévisions, souligne Didier Kling, président de la CCI Paris Ile-de-France. Beaucoup de projets de construction sont dans les cartons. Les permis de construire ont atteint en 2018 leur plus haut niveau depuis 2010 avec près de 550 000 m² et les agréments ont dépassé 700 000 m². C’est un bon signe, mais il faudra attendre 2020 pour voir si ces promesses se confirment. » Et d’ajouter : « La Chambre est vigilante sur les grandes opérations d’aménagement afin de s’assurer que le foncier productif ne soit pas une variable d’ajustement. Le marché des locaux d’activité mérite une attention particulière. Les documents d’urbanisme doivent sanctuariser du foncier économique, notamment dans le futur Schéma de cohérence territoriale (SCOT) de la Métropole du Grand Paris. »

 

Les OFS adressent des propositions à Julien Denormandie

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Plus de 350 acteurs du territoire et professionnels du monde de l’habitat se sont réunis les 6 et 7 novembre à l’occasion de la deuxième rencontre nationale du Réseau foncier solidaire, organisée à Rennes. À l’issue de cette rencontre, des propositions portées par les Organismes de foncier solidaire (OFS) agréés ou dont l’agrément est en cours d’instruction, ont été remises à Emmanuel de Lanversin, adjoint à la Direction de l’habitat, de l’urbanisme et des paysages représentant Julien Denormandie, ministre chargé de la Ville et du Logement. Le Réseau Foncier Solidaire France propose d’accompagner le développement du modèle en rendant possibles les ajustements opérationnels ; de poursuivre le partage d’expériences et la capitalisation au sein du réseau ; de réaffirmer et diffuser les valeurs ayant présidé à la création du modèle en France.

 

Nexity lance un nouveau concept de résidence seniors

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Nexity lance à Toulouse son nouveau concept de résidence seniors baptisé Villa Serena. Se voulant à la fois collective et adaptée aux besoins de chacun, la résidence déploie dans un îlot de verdure, 89 logements - du T1 au T3 - répartis en trois bâtiments avec en sous-sol 27 places de stationnement au cœur du quartier Borderouge. Elle offre un espace extérieur paysager (avec boulodrome, jardin partagé, pergola…) et des espaces communs lumineux. Chaque logement propose des salles de bains ergonomiques, volets électriques, chauffage et éclairage pilotés par domotique, équipements en adéquation avec les besoins des occupants (circulation sans obstacle, modules de cuisine plus bas…). Pour assurer une présence au sein de la résidence, Nexity a choisi l’ADMR. Le réseau associatif français du service à la personne occupera, au rez-de-chaussée, de la résidence un local de 120 m² composé d’un bureau et d’une salle commune. L’association assurera une permanence et supervisera les intervenants pour l’animation, l’accompagnement, les services et les aides à domicile. Au programme : gymnastique douce, sorties culturelles, ateliers de prévention, jardinage, petits travaux…

 

Eiffage et I-Site Future lancent le projet E3S

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Eiffage et I-Site Future, consortium français de recherche et de développement sur la ville durable, ont noué un partenariat sur-mesure afin de démultiplier les possibilités d’innovation pour la ville durable. Ce partenariat s’applique dans le cadre du projet d’écoquartier LaVallée à Châtenay-Malabry au sud de Paris. Ce travail partenarial doit également permettre une évaluation « in itinere » dans le temps de la copie originelle en prenant en compte des évolutions scientifiques, techniques et sociétales – la livraison de l’ensemble des bâtiments étant prévue entre 2024 et 2027. Côté académique, le consortium I-Site Future regroupe sept établissements membres de la Communauté d’Universités et d’établissements Université Paris-Est autour d’un projet scientifique centré sur les villes de demain : l’Ifsttar (Institut français des sciences et technologies des transports, de l'aménagement et des réseaux), l’École d’architecture de la ville et des territoires Paris Est, l’École des Ponts Paris Tech, l’EIVP (École des ingénieurs de la Ville de Paris), l’ESIEE, et l’ENSG (École nationale des Sciences géographiques). Ce sont au total 1 250 personnels académiques, dont 490 chercheurs impliqués dans ce travail de recherche appliquée. Le thème des « villes de demain » est au centre du projet, lui-même structuré autour de trois défis : les villes économes en ressources naturelles et en énergie, les villes sûres et résilientes, les villes intelligentes au service du citoyen. Dans le cadre d’E3S, plus de 80 chercheurs du consortium I-SITE et professionnels d’ Eiffage issus de toutes les branches du groupe (direction du développement durable et de l’innovation transverse, Eiffage Aménagement, Eiffage Immobilier, Eiffage Construction, Eiffage Route, Eiffage Génie Civil, Eiffage Énergie Systèmes) sont mobilisés pour couvrir les champs de la ville durable et ouvrir au maximum le champ des possibles : le génie civil, l’énergie, la construction, mais également la santé, la sociologie ou encore l’histoire et la littérature sont ainsi au cœur des différentes actions. Le projet, doté d’un budget de 2 millions d’euros, financé à part égale entre Eiffage et le consortium Future, est d’une durée de trois ans et se déroulera en parallèle de la première phase du chantier.

 

Le groupe Kardham lance Kardham Digital et acquiert HDR Communications

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Le groupe Kardham crée sa filiale Kardham Digital, une entreprise de services numériques spécialisée dans les technologies digitales appliquées à l’immobilier d’entreprise. Cet acteur indépendant et intégré de l’immobilier professionnel annonce par ailleurs l’acquisition de HDR Communications, spécialisée dans la conception et la réalisation de solutions numériques BtoB. Ces deux développements doivent permettre au groupe Kardham d’accélérer son déploiement dans les métiers du digital, initié en 2017, « et de renforcer son approche holistique des bâtiments professionnels et de leurs environnements de travail avec comme objectif de devenir un opérateur-clé du smart building ». La vocation de Kardham Digital est, d’une part, de fournir aux propriétaires et investisseurs immobiliers une expertise capable d’améliorer la performance et la commercialité des actifs et, d’autre part, d’optimiser et enrichir par le digital l’expérience utilisateur au sein des locaux professionnels. Le postulat est d’intégrer les dimensions architecturales, techniques, réglementaires, ergonomiques et humaines. L’entreprise intervient sur les problématiques de smart building, smart office ou digital workplace en proposant un bouquet de services dans la conception, la réalisation et l’exploitation de solutions digitales.

 

MeilleureCopro et Havr récompensés sur le salon RENT

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MeilleureCopro a reçu le prix de « LA Start-up RENT ». Remis par ORPI, cette distinction récompense la société qui propose aux copropriétaires, conseils syndicaux et syndics un audit, mené par une équipe d’experts, des charges de copropriété pour les réduire tout en conservant un niveau de qualité égal ou supérieur. MeilleureCopro a convaincu le jury par son business plan, conforté par une récente levée de fonds de 3 M€. Havr a reçu pour sa part le Prix de l’Innovation. Remis par la Fédération française de l’internet immobilier (FF2I) et Anaxago, il récompense la start-up, fondée en 2017 entre Paris et Compiègne, qui développe les systèmes de contrôle d'accès avec une serrure connectée, la BrightLock, programmable, contrôlable à distance et qui ne s’ouvre que par un faisceau lumineux venant du smartphone. Plus de 4 000 serrures Havr ont déjà été installées en France, en particulier une clientèle B2B en recherche de sécurité. Autre temps fort de RENT, la les trophées académiques ont distingué deux mémoires. Le Prix Master a été remis à Charles Finet de l’Université Paris Dauphine pour son mémoire de master 1 « Marketing des lotissements périurbains : l’architecture et l’urbanisme comme nouveaux dispositifs de considération ». Le Prix Junior a récompensé Lisa Marty de l’Université D’Evry Val d’Essonne pour son mémoire « L’agent immobilier face à un avenir incertain ».

 

Pierre 48 devient Novapierre Résidentiel

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Pierre 48 devient Novapierre Résidentiel, SCPI 100 % résidentielle. La capitalisation du véhicule s’élève à 270 M€. Ce dernier permet aux épargnants d’investir indirectement dans des actifs résidentiels, neufs ou anciens, situés en France, en grande majorité à Paris et dans le Grand Paris. Novapierre Résidentiel offre ainsi aux investisseurs l’opportunité de prendre des parts dans un parc immobilier de plus de 600 appartements. La SCPI de plus-value a pour objectif principal la valorisation de son patrimoine sur le long terme. A cet effet, la stratégie mise en œuvre par Paref Gestion depuis la création de la SCPI en 1996 consiste à investir dans des actifs « de qualité » à prix décoté en réalisant des acquisitions d’immeubles en bloc, de logements occupés, ou via des opérations de démembrement de propriété. L’augmentation de valeur des actifs permet ensuite à la société de revaloriser régulièrement le prix de sa part et de distribuer aux souscripteurs des plus-values potentielles réalisées lors de cessions de certains de ses biens.

 

Horizon et Nue-Pro Select donnent naissance à la JV Horizon NPS

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Vue perspective du programme Allure à Rueil-Malmaison (©Atland)

Le groupe Horizon et Nue-Pro Select s’associent et créent Horizon NPS. Ce dernier aura pour vocation d’acheter des programmes immobiliers en bloc pour y réaliser des opérations en usufruit locatif. L’objectif d’Horizon NPS est de développer et proposer une offre à destination des promoteurs immobiliers. Ce partenariat a pour vocation d’acquérir en bloc des immeubles pour y réaliser des opérations en usufruit locatif social et/ou intermédiaire. La co-entreprise assurera le portage d’opérations immobilières résidentielles, mais aussi de programmes de résidences services situés dans Paris et le Grand Paris, ainsi que dans la Métropole lilloise, le bassin lyonnais, Nantes, etc. Les opérations porteront sur des programmes de 20 à 150 lots environ, en privilégiant « les emplacements stratégiques ». Les deux partenaires ont déjà concrétisé leur collaboration à travers un premier programme immobilier résidentiel en nue-propriété à Rueil-Malmaison (92), en première couronne parisienne. Baptisé « Allure », ce projet immobilier situé dans l’ÉcoQuartier de l’Arsenal est constitué de 42 appartements allant du studio au 3 pièces. Il a été réalisé et commercialisé par le promoteur Altand, et l’usufruit locatif sera cédé au bailleur, la SA HLM IRP, dans le cadre d’un démembrement de logements intermédiaires pour une durée de quinze ans.

 

JMG Partners investit dans GreenField Aménagement

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JMG Partners prend une participation majoritaire dans GreenField Aménagement Le groupe intègre ainsi une compétence nouvelle pour produire de grands fonciers pour ses futurs développements JMG Partners va s'appuyer sur GreenField Aménagement pour l'accompagner dans la réalisation de quatre opérations représentant quelque 120 hectares et 380 000 m² de SDP que le groupe développe. Avec le parc d'activités de la Dombes à Mionnay, d'une surface de 28 hectares aux portes de Lyon, JMG Partners permet à GreenField Aménagement de transformer une mission d'AMO en une première opération en tant que maître d'ouvrage. Fondée en 2007, GreenField Aménagement gère des dossiers d'aménagement devenus de plus en plus complexes (enjeux environnementaux, agriculture, pollution...). En ouvrant son capital à JMG Partners, GreenField Aménagement va se doter de plus de moyens pour prendre en charge des opérations en maîtrise d'ouvrage. Les activités d'aménagement de JMG Partners seront menées sous la marque GreenField Aménagement qui poursuivra, parallèlement, ses missions de conseil auprès de ses clients historiques.

 

Thomas Brault rejoint le département capital markets de Colliers International

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Colliers International poursuit le développement de ses activités transactionnelles avec l’arrivée de Thomas Brault en qualité de senior director pour renforcer le pôle transaction et développer l’offre capital markets. Titulaire d’un MBA et d’un master de droit immobilier, Thomas Brault bénéficie de plus de 25 ans d'expérience dans l'immobilier, côté investisseur et utilisateur et dans la finance à l'échelle internationale. Avant de rejoindre Colliers, il était depuis 2015 « head of property » au sein de Generali à Milan. Il travaillera aux côtés de Arnaud Chevalier, senior director, récemment arrivé au département capital markets.

 

La FFB tacle la proposition visant à supprimer le PTZ

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Le rapport de la mission conjointe de l’Inspection générale des finances (IGF) et du Conseil général de l'environnement et du développement durable (CGEDD) sur le PTZ milite pour une suppression du PTZ et, dans l’immédiat, déconseille sa propagation en zones B2 et C. Les justifications mises en avant relèvent d’un véritable aveuglement selon la Fédération française du Bâtiment (FFB). « Premièrement, le dispositif s’avère, certes, moins solvabilisateur dans une période de taux quasi-nuls, mais supposer qu’un tel environnement devienne la norme sur long terme constitue un pari plus qu’audacieux, précise le communiqué de presse. Deuxièmement, il s’avère compliqué de ne pas voir l’impact du rabotage du PTZ en zones B2 et C intervenu en 2018, contrairement à ce qu’affirme le rapport. Toutes les observations disponibles convergent pour signaler que le rabotage du PTZ neuf s’est traduit par un éloignement plus grand des ménages des centres-villes et centres-bourgs, donc par plus d’urbanisation. » Jacques Chanut, président de la FFB, conclut : « L’énième pique que constitue le rapport IGF-CGEDD ne doit pas faire oublier l’essentiel à ceux qui votent la loi, à savoir que la suppression du PTZ se traduirait par une nouvelle relégation des ménages jeunes et modestes hors des villes et des bourgs. »

Par François Perrigault (@fperrigault)

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