La veille urbaine du 14 mai 2020
Les actualités liées au coronavirus
Reprise des chantiers du Campus urbain de Paris-Saclay
(©EPA Paris-Saclay)
La plupart des chantiers du Campus urbain, arrêtés mi-mars, ont repris dans le respect des règles de sécurité sanitaire contenues dans le guide de l’Organisme professionnel de prévention du bâtiment et des travaux publics (OPPBTP) défini par la profession et les autorités sanitaires. L’EPA Paris-Saclay, les maîtres d’ouvrage et les entreprises du Campus urbain de Paris-Saclay se sont mobilisés afin de permettre une reprise des chantiers. Pour attester de la dynamique, une visite officielle du préfet de département de l’Essonne a été organisée ce jeudi 14 mai avec des passages sur des chantiers d’espaces publics comme la place Marguerite Perey à Palaiseau ou encore sur le chantier du pôle Biologie-Pharmacie-Chimie de l’Université Paris-Saclay.
Pas de prorogation de l’état d’urgence sanitaire pour les marchés publics
Une ordonnance adoptée en conseil des Ministres a modifié les délais applicables aux marchés publics, « sans aucune concertation préalable avec les secteurs concernés, notamment le secteur des travaux publics qui réalise 70 % de son chiffre d’affaires grâce à la commande publique, selon la Fédération nationale des travaux publics. Cette ordonnance ne prend volontairement pas en compte la prorogation de l’état d’urgence sanitaire dans le calcul qui entoure les marchés publics et privés. » Après un mois de suspension totale, l’activité des travaux publics reprend de manière très progressive. Le chiffre d’affaire du mois d’avril a représenté en moyenne 17% d’un mois « normal ». Le niveau d’activité devrait rester dégradé jusqu’à l’été d’après la fédération, de l’ordre de 60 % en mai, 75 % en juin, 90 % en juillet. « Dans ces conditions, le respect des délais d’exécution des marchés, tel que le prévoit la nouvelle ordonnance, sera impossible, s’insurge la FNTP. Les entreprises devront payer des pénalités de retard qui viendront s’ajouter aux surcoûts liés à la mise en œuvre des mesures sanitaires. Cette double peine est bien sûr inacceptable. Le Gouvernement doit, de toute urgence, revenir sur cette ordonnance qui risque de compromettre tous les efforts de la profession pour survivre à la crise. »
L'édition 2020 de Garden Parvis à Paris La Défense annulée
Dans le contexte actuel de crise sanitaire, Garden Parvis, événement estival du quartier d'affaires de La Défense, est annulé. Il aurait dû se tenir du 2 juillet au 16 août sur le parvis. « Garden Parvis est l'événement de l'été le plus attendu par les utilisateurs du quartier, déplore Marie-Célie Guillaume, directrice générale de Paris La Défense. C'est une réelle déception pour nous de devoir l'annuler. » En 2019, Garden Parvis avait accueilli plus de 300 000 personnes.
Le reste des actualités
Covivio cède l’immeuble Respiro à Nanterre pour 83 M€
Covivio a cédé Respiro, immeuble de 11 173 m² situé Nanterre, à deux SCPI gérées par Atland-Voisin et MyShareCompany pour un montant de 83 M€. L’ensemble acquis en 2013 par Covivio a fait l’objet d’une restructuration complète afin d’accueillir en 2015 une filiale de Vinci Construction France. Respiro, est doublement certifié NF HQETM niveau « Très bon » et BREEAM niveau « Excellent » avec une labellisation BBC-effinergie. Dans la foulée du renouvellement du bail à Vinci Construction France Habitat IDF, pour une période ferme de 10 ans, Covivio cède cet ensemble de 11 173 m² à deux SCPI gérées par Atland-Voisin et MyShareCompany pour un montant de 83 M€. Depuis le début d’année, Covivio a déjà signé pour 369 M€ de cessions et accords de cessions (266 M€ PdG), dont 157 M€ d’accords signés depuis mi-mars. Ces ventes portent pour l’essentiel sur des immeubles de bureaux en France et en Italie. Covivio se dit confiant pour atteindre son objectif de plus de 600 M€ part du groupe de nouveaux accords de cessions en 2020
AB Sagax signe 6 680 m² de locaux d’activité à Neuilly-sur-Marne
AB Sagax a acquis 6 680 m² de locaux d’activité à Neuilly-sur-Marne, dans la zone d’activité des Chanoux, 49 à 59 rue des Frères Lumière pour un montant de 5,9 M€ HD HT. Les locaux étaient loués à 100 % à une imprimerie et à Intermarché. Dans cette transaction, Evolis conseillait le preneur et le vendeur.
Altixia REIM investit à Rennes
(©Immeuble Edonia N – Tourny Meyer)
Altixia REIM a réalisé, pour le compte de la SCPI Altixia Cadence XII, une nouvelle acquisition de bureaux de 2 433 m², bénéficiant de 76 parkings, dont 38 en sous-sol, au sein du parc d’Affaires Edonia à St Grégoire auprès d’une foncière privée. L’actif, en pleine propriété, est un R+3 étages, de 2009, à usage de bureaux. Cet actif est loué à BNP Paribas pour une durée restante à courir de 8 ans (dont 5 ans ferme) et Seres (marque de Docaposte, filiale du groupe La Poste, spécialisée dans la dématérialisation de données) pour une durée restante à courir de 7 ans. Dans cette transaction, Altixia Reim était conseillée par l’étude LBMB. Le vendeur était quant à lui conseillé par l’étude Guines, Emonnet et Renaudon-Brunetiere. Le groupe Tourny Meyer était conseil des deux parties.
Plus de 70 000 opérations Effinergie en France
Dans le secteur résidentiel, près de 60 opérations se sont engagées dans un label Effinergie 2017 selon le tableau de bord de l’Observatoire BBC au T1 2020, soit une croissance de +10 % par rapport à 2018. Au total, 6 100 logements sont concernés par un label Effinergie 2017, dont 43% visent le Bepos Effinergie 2017. Dans le domaine de la rénovation, la barre symbolique des 200 000 logements engagés dans une rénovation basse consommation a été franchie. 28 000 logements se sont engagés dans une rénovation basse consommation en 2019, soit une augmentation de +42 % du nombre de logements par rapport à la période 2011/2016. « Cependant, porté par la rénovation du parc immobilier des bailleurs sociaux et dans un contexte législatif contraignant à court terme (Loi Elan), le nombre de demandes dans le secteur résidentiel est en recul (-20 %) par rapport à 2018 et 2017, ajoute le communiqué de presse. La rénovation basse consommation du secteur tertiaire en baisse constante depuis 2015 présente des difficultés à mobiliser les maîtres d’ouvrages. »
La Poste obtient la certification ISO 50001
Le groupe La Poste a décidé de renforcer sa démarche en mettant en place, depuis 2016, un système de management de l’énergie dans certains de ses bâtiments. Ce système complète la politique de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Le groupe La Poste a obtenu la certification ISO 50001 après l’audit AFNOR Certification. Poste Immo, la foncière immobilière du groupe, a d’abord identifié les bâtiments les plus énergivores, soit 196 immeubles totalisants près de 900 000 m². En tant qu’expert du management de l’énergie, Sobre Energie, filiale de La Poste, a accompagné le groupe sur tout le processus en réalisant des audits et une cartographie des situations de référence et des postes de consommations pour les usages énergétiques significatifs. Les diagnostics ont permis de définir les objectifs de maîtrise de la consommation ainsi que les gisements d'économie. Puis, une méthodologie spécifique a été mise en place dans le but de présenter à l’auditeur les documents et indicateurs pertinents, qui couvrent plusieurs activités comme des sites logistiques, des centres financiers, des bureaux de poste, etc. La Poste s’est ainsi engagée à suivre et à analyser ses efforts de maîtrise de ses consommations énergétiques dans deux domaines : les données de facturation de l’ensemble des fluides et les données sur site en temps réel grâce à l’installation de capteurs connectés. L’ambition du groupe est d’atteindre 10 % d’économies d’énergie en 2021 par rapport à l’année 2018. En 2021, un élargissement du périmètre de certification ISO 50001 est prévu pour en renforcer l’impact. Un audit de suivi est mis en place chaque année pour s’assurer de la pérennité des mesures adoptées. Les bâtiments concernés sont ceux de la branche services courrier colis, du réseau, de Poste Immo et de La Banque Postale (dont la quasi-totalité des bâtiments est à ce jour certifiée). Au-delà de l’audit et de la mise en place des indicateurs, la démarche ISO 50001 comprend un engagement d’amélioration continue de la performance énergétique dans le temps. « A ce titre, elle constitue une excellente base pour préparer la feuille de route demandée par le décret tertiaire du 23 juillet 2019, qui impose aux occupants de bâtiments tertiaires de plus de 1 000 m² de réduire leur consommation d’énergie jusqu’en 2050, avec une première étape à moins 40 % en 2030 (par rapport à 2010) », conclut le communiqué de presse
Pierre Bressollette prend la présidence d’Arkadea
Pierre Bressollette est nommé président d’Arkadea au 1er mai 2020. Il succède à Jean-Pierre Matton qui a fait valoir ses droits à la retraite. Olivier Wigniolle, directeur général d’Icade, succède à Rémi Feredj, directeur général de Poste Immo, à la présidence du comité stratégique d’Arkadea au 10 avril 2020. Pierre Bressollette, 45 ans, est titulaire d’un Executive MBA de HEC et d’un diplôme d’ingénieur Supaéro. En 2007, il devient successivement responsable du portfolio management, puis en 2010, directeur délégué à la gestion d’actifs au sein de GE Real Estate. Il rejoint Poste Immo en 2013 en tant que directeur de la valorisation en charge de la politique immobilière sur l’ensemble du parc et de la stratégie de création de valeur sur les 4 millions de m² patrimoniaux. Après avoir participé à la création d’ARkadea, il en devient le directeur exécutif en juillet 2017. En février 2020, il prend la direction générale de la structure. Il occupe, depuis le 1er mai 2020, le poste de Président d’Arkadea. Société de promotion immobilière créée en 2017 et détenue à parts égales par Poste Immo et Icade, Arkadea a pour ambition de favoriser les synergies au sein du groupe La Poste et de la Caisse des Dépôts (CDC) et intervient sur l’ensemble des territoires. « Arkadea amorce une nouvelle étape de son développement avec une équipe de huit collaborateurs afin d’accélérer notamment ses recherches foncières sur le marché », précise le communiqué de presse.
Hugo Cheysson nouveau directeur commercial de Deskeo
Deskeo a annonce l’arrivée d’Hugo Cheysson en tant que directeur commercial. Il a fait ses premiers pas chez Savills en 2013, avant de continuer sa carrière chez CBRE. Il y restera cinq ans en tant que consultant moins de 1 000 m² Paris Centre, puis de 1 000 à 5 000 m² Paris QCA avec une expertise tournée vers les utilisateurs. « Attiré par les nouveaux modèles d’utilisation des bureaux, Hugo Cheysson rejoint WeWork en 2019 », précise le communiqué de presse. En charge des relations brokers, il accompagne également « les transactions les plus importantes » à Paris et Bruxelles. Il rejoint Deskeo pour encadrer une équipe de huit personnes chargées de commercialiser les surfaces disponibles aux utilisateurs finaux. « Nous avons retrouvé dans le profil d’Hugo toutes les valeurs portées par Deskeo, précise Frank Zorn, co-fondateur de Deskeo. Tourné vers l’avenir et la révolution des bureaux depuis le début de sa carrière, Hugo est le profil qu’il nous fallait pour renforcer notre équipe commerciale. Sa parfaite connaissance du marché nous aidera à développer nos relations avec les brokers qui sont à l’origine de la grande majorité de nos transactions. Hugo est la dernière pièce de l’équipe dirigeante de Deskeo qui a vu plusieurs managers expérimentés garnir ses rangs depuis un an. »
Joëlle Chauvin va céder les rênes d'OFI Pierre à Aymeric Thibord
En septembre 2016, Joëlle Chauvin a répondu à l’appel de Jean-Pierre Grimaud, directeur général du groupe OFI, pour créer ex-nihilo une société de gestion spécialisée dans l’immobilier. La société OFI PIERRE est créée et agréée par l’AMF le 20 février 2017. Trois ans plus tard, l’activité compte trois fonds gérés, pour un encours de près de 250 M€. « Après une riche carrière dans l’immobilier, Joëlle Chauvin souhaite se consacrer à de nouveaux projets personnels », précise le communiqué de presse. Elle quittera ses fonctions de directrice générale d’OFI Pierre à compter du 28 mai 2020. Elle restera néanmoins administrateur de la société OFI pierre. Cette dernière organise la transition en recrutant Aymeric Thibord en tant que directeur de la stratégie. Il a vocation à rejoindre le directoire d’OFI Pierre, nomination soumise au vote des membres du conseil de surveillance qui se réuniront fin mai. Aymeric Thibord a intégré OFI Pierre le 4 mai dernier pour travailler dès à présent sur le plan de développement. Âgé de 45 ans, il était auparavant directeur adjoint du département immobilier de Tikehau IM qu’il a rejoint en 2016 pour contribuer à son développement au niveau européen. Il a débuté sa carrière au sein d’Archon Group (Goldman Sachs) en 1998 avant de rejoindre Société Générale Asset Management (aujourd’hui Amundi) en 2003 en tant que directeur des acquisitions et membre fondateur du pôle d’asset management immobilier. En 2010, Aymeric Thibord participe à la mise en place de la plateforme immobilière européenne chez TIAA depuis Londres, avant de devenir Directeur du fund management au sein de TIAA Henderson Real Estate (aujourd’hui Nuveen Real Estate).
MNK Partners recrute son nouveau directeur commercial
Victor Droit rejoint MNK Partners en qualité de directeur commercial. Il renforce la présence de la société de gestion auprès de sa clientèle privée, professionnelle et institutionnelle. Il aura également pour mission, en collaboration avec les équipes de gestion, de participer à la création de nouvelles solutions immobilières, tant sur la gestion collective que la gestion privée. Victor Droit travaillera sous la responsabilité de Mansour Khalifé, fondateur et président de MNK Partners. Victor Droit assurera la présence de MNK Partners auprès des conseillers en gestion de patrimoine, des family offices, des banques privées, et des investisseurs institutionnels en France et en Europe. Il aura également la responsabilité de renforcer les partenariats avec les différentes plateformes financières et les assureurs-vie. Après des études de finance en IAE puis un mastère spécialisé en international wealth management de l’ESCP Europe, Victor Droit débute sa carrière en banque privée chez LCL et Société Générale. De 2013 à 2020, il occupe des fonctions commerciales au sein de sociétés de gestion immobilières, d’abord chez PERL puis chez Horizon AM.
CBRE s’associe à Cap Ingelec dans le domaine du Datacenter Edge
CBRE dévoile, en partenariat avec Cap Ingelec (spécialiste français dans l’ingénierie des bâtiments techniques), une nouvelle offre dans le domaine du Datacenter Edge. Cette solution a été pensée pour répondre aux acteurs du Edge Computing (opérateurs télécoms, entreprises spécialisées dans le stockage et traitement de la donnée) et à leurs nouveaux besoins. « L’objectif est de permettre aux opérateurs de bénéficier rapidement d’une offre d’espaces disponibles et qualifiés, dans un marché où la vitesse de déploiement est l’enjeu majeur », précise le communiqué de presse. Dans une première phase immobilière, CBRE apportera son savoir-faire dans la recherche et l’identification des futures infrastructures, la qualification technique jusqu’à la négociation et signature des contrats de location ou de vente de ces bâtiments. Cap Ingelec, amènera dans une phase plus technique, son expertise concernant la réalisation de bâtiments critiques en effectuant notamment les conceptions détaillées de chaque site sélectionné et en suivant la réalisation des futurs Datacenter Edge.
Tikehau Capital en passe d’acquérir Star America Infrastructure Partners
Tikehau Capital est entré en négociations exclusives en vue de l’acquisition de Star America Infrastructure Partners, société de gestion indépendante américaine active dans le secteur du développement et de la gestion de projets d’infrastructures en Amérique du Nord. Créée en 2011 par deux entrepreneurs, Star America s’est spécialisée dans des projets d’infrastructures de taille moyenne, particulièrement au travers de partenariats public-privé, dans quatre catégories d’actifs : le transport (notamment routes, ponts, tunnels, ferroviaire), les infrastructures sociales (notamment logement étudiants et hôpitaux), l’environnement (gestion de l’eau et des déchets, efficacité énergétique) et la communication (data centers, fibre optique). Star America gère à fin avril 2020 plus de 600 M$ (550 M€) d’encours, dont 70 % proviennent d’investisseurs américains, et compte environ 20 collaborateurs. Tikehau Capital et Star America estiment que le marché des infrastructures aux Etats-Unis recèle un réel potentiel de croissance à long-terme. « Cette opération permettrait ainsi à Tikehau Capital de diversifier ses encours vers une nouvelle classe d’actifs porteuse et de renforcer sa stratégie de développement en Amérique du Nord en accélérant son ouverture à des clients-investisseurs nord-américains, détaille le communiqué de presse. Avec un taux de commission de gestion nettement supérieur à la moyenne du groupe, appliqué au capital engagé par les clients-investisseurs, cette acquisition viendrait également renforcer le profil de génération de revenu de Tikehau Capital. » Le projet d’acquisition porte sur 100% du capital de la société de gestion. Les termes et conditions complets de la transaction envisagée restent sujets à discussion et la transaction, si elle est signée, sera soumise à des conditions suspensives.
Forte dynamique pour le biométhane en France
GRDF, GRTgaz, le SPEGNN, le Syndicat des énergies renouvelables (SER) et Teréga ont publié la cinquième édition du Panorama du Gaz Renouvelable, qui dresse un état des lieux annuel de la filière biométhane. La filière montre une forte dynamique, 47 nouveaux sites ayant été ouverts en en France l'année dernière, portant ainsi à 123 le nombre d’installations raccordées aux réseaux gaziers français à fin 2019. Les quantités de biométhane injectées dans les réseaux ont elles aussi fortement progressé par rapport à 2018, dépassant la barre symbolique du TWh et atteindre 1 235 GWh, soit l’équivalent de la consommation annuelle de près de 103 000 logements. La capacité maximale annuelle d’injection de l’ensemble des sites de production atteint 2 157 GWh fin 2019, contre 1 206 GWh l'année précédente. Selon l'étude, « la montée en compétences des acteurs sur la chaîne de valeur, la structuration et la professionnalisation de la filière ont permis d’atteindre plus de 4 000 emplois directs et indirects en 2018 et un chiffre d’affaires de 695 millions d’euros ». Le communiqué précise également que les projets enregistrés jusqu’en 2019 « permettraient à la France d’atteindre, voire de dépasser, l’objectif de 10 % de gaz renouvelables en 2030 », réclamant « des mesures d'accompagnement ponctuelles » ainsi que « des perspectives de plus long terme » afin de pérenniser la filière.
Par François Perrigault (@fperrigault) et Boris Beltran (@bobobeltran)