Pour éviter toute source de conflit, les entreprises familiales doivent mettre très tôt en place des instances de gouvernance capables de prendre en compte les intérêts des actionnaires familiaux dont l’implication opérationnelle est inégale.
Le groupe de Vincent Bolloré sort gagnant de l'offre publique d'achat initiée mi-février puisqu'il détient désormais la majorité du capital de l'éditeur de jeux vidéos.
Leader en Europe avec 25000 clients, le groupe de service aux entreprises et collectivités réalise un chiffre d’affaires de 1,8 milliard d’euros. L’entreprise a pour ambition de s’implanter dans trois nouveaux pays par an. Aux commandes du groupe depuis 1999, Franck Julien nous explique comment il tient la cadence.
Alors que l’économie française tourne au ralenti, les entreprises familiales doivent plus que jamais penser à leur internationalisation. Pourtant, nombreuses sont celles qui ont encore du retard en la matière.
Longtemps à la tête du groupe familial Darégal, leader mondial des plantes et herbes aromatiques surgelées, Luc Darbonne est aujourd’hui président du Family Business Network, une association qui accompagne les dirigeants et les actionnaires d’entreprises familiales dans la pérennisation de leur groupe.
Responsable de l'un des fonds d'investissement les plus performants en Europe en matière de sciences de la vie et de dispositifs médicaux, Gilles Nobécourt met en garde contre l'amour de la science, cette étreinte se faisant parfois au détriment des objectifs financiers.
La pérennité des groupes familiaux repose notamment sur l’existence de structures de gouvernance efficaces et acceptées par tous les actionnaires. Il est essentiel de les mettre en place dans une logique d’anticipation des crises, en particulier pour préparer sereinement la transmission de l’entreprise.