L'ancien président compte parmi les trente Français sur lesquels nous avons choisi de parier avec optimisme et fierté en 2015…
Nicolas Sarkozy (président de l'UMP) : L’éternel revenant
Tel Sisyphe, Nicolas Sarkozy n’a de cesse de gravir les sommets et de les dégringoler. En 1995, il soutient Balladur, mais Chirac l’emporte et l’évince de la composition du gouvernement. Peu importe, il fait son retour en 1997 comme secrétaire général du RPR. Après l’échec des élections européennes de 1999, le maire de Neuilly-sur-Seine – depuis 1983 – annonce sa démission et se retire de la politique nationale. L’année 2002 signe le succès de son ascension : soutenant Chirac, réélu face à Le Pen, il occupa les postes de ministre de l’Intérieur puis de l’Économie. Deux ans plus tard, il accède à la présidence de l’UMP, avec 85?% des suffrages des adhérents. Le jour de gloire arrive le 16?mai 2007 lorsque cet avocat de formation devient président de la République, suivie de la présidence de l’Union européenne. Battu en 2012, il entame une très courte traversée du désert puisqu’il revient en 2014 à la tête de l’UMP dont le nouveau nom (Rassemblement ?), devrait être annoncé courant janvier.
Pourquoi on parie sur lui : qu’il soit en retrait ou non, on ne parle que de lui (bashing, enquêtes judiciaires, homme providentiel, vie privée…).
Sa réputation : le conquérant.
Son secret bien gardé : fils d’immigrés hongrois, il revendique au besoin son origine de «?sang-mêlé?».
Pourquoi on parie sur lui : qu’il soit en retrait ou non, on ne parle que de lui (bashing, enquêtes judiciaires, homme providentiel, vie privée…).
Sa réputation : le conquérant.
Son secret bien gardé : fils d’immigrés hongrois, il revendique au besoin son origine de «?sang-mêlé?».