Entendu à Jouy-en-Josas
« Ailleurs qu’en France – à New York, Dubaï, Abu Dabi… - il y a une fierté à parler français. Je regrette qu’en France on n’ait pas l’audace et la fierté d’utiliser la langue française dans le monde des affaires, qu’on ne voie pas sa potentialité » ; Richard Attias, fondateur du Forum économique de la francophonie
« La langue française est un vecteur d’influence majeur qui sert notre présence dans le monde ; elle véhicule nos valeurs, elle défend notre culture… » ; Jérôme Clément ; président de la Fondation Alliance française
« La France a tellement d’atouts – l’excellence, la créativité… - mais elle a perdu sa capacité à croire en elle-même. Pour moi la classe politique, qui alimente un sentiment de misérabilisme, est en grande partie responsable de cette perte de confiance » ; Sophie Pedder, correspondante à Paris de The Economist.
« La propension française à discuter et à contester est une bonne chose mais, depuis quelques années, elle vire à de l’immobilisme » ; Alfredo Valladao, professeur à Science Po Paris
« La mondialisation n’est pas un choix. C’est une réalité ; et la seule façon de l’aborder consiste à renforcer la compétitivité de notre appareil économique » ; Nicolas Sarkozy, candidat à la primaire LR
« Votre gouvernement nous fait peur, à nous chefs d’entreprise qui n’avons peur de rien ! »; Sophie de Menthon, présidente d’Ethic à Jean-Marie Le Guen
« Il faut avoir une pédagogie et un séquençage du changement. La politique de la table rase, cela ne fonctionne pas » ; Jean-Marie Le Guen, secrétaire d’Etat auprès du Premier ministre, chargé des relations avec le Parlement
« Tant qu’à avoir la France dans la rue, autant faire des choses utiles pour son pays ! »; Bruno Le Maire, candidat à la primaire LR
« L’économie collaborative est une très bonne chose, mais c’est aussi un conflit tragique qui oppose deux légitimités : celle de Airbnb et celle des hôteliers » ; Luc Ferry, philosophe, ancien ministre de l’Education nationale
« Je veux une équipe gouvernementale de quinze ministres – et pas un de plus – choisis sur le critère original de la compétence et largement ouverts à la société civile. La classe politique doit être rénovée. il est pour cela impératif de l’ouvrir à des compétences extérieures » ; François Fillon, candidat à la primaire LR
« Nous pourrions nous fixer comme objectif d’être la Silicon Valley de l’Europe dans un objectif 10 ans » ; Pierre Gattaz
« La confiance c'est 50 % du business » ; Pierre Gattaz, président du Medef
« On est dans une forme de bureaucratie qui écrase les innovations » ; François Fillon, candidat à la primaire LR
« L’identité française n’est pas tant une affaire d’enracinement que de déracinement. « Être français » c’est organiser l’espace public pour que chacun y trouve sa place » ; Raphaël Enthoven, philosophe
« Je vous suggère de vous engager dans la vie publique, car vous avez toute la légitimité pour le faire. Qui mieux que vous savez combien les déficits nous ont conduits à cette dette abyssale ? Qui mieux que vous savez que ce qui est économiquement indispensable doit être socialement acceptable ? » ; Jean-Dominique Sénard, président de Michelin
« Une France juste, c’est une France dans laquelle l’administration est remise à sa place et qui comprend que l’heure de la technocratie est terminée, il est venu l’heure des entrepreneurs » ; Bruno Le Maire, candidat à la primaire LR
« On ne construit pas l’économie française sur le pessimisme et sur le déclin » ; Jean-Marie Le Guen, secrétaire d’Etat auprès du Premier ministre, chargé des relations avec le Parlement
« L’éducation doit être un correcteur d’inégalité et un ascenseur social » ; Alain Juppé, candidat à la primaire LR
« On a trop souvent oublié le cœur, l’émotion, dans notre système éducatif » ; Isabelle Barth, professeur agrégée en sciences de gestion, rédactrice en chef de la Revue internationale de psychosociologie
Caroline Castets @CaroCastets1
& Capucine Coquand@CapucineCoquand