Frederick Crot est président de l'AFFO, Association française du family office. Souvent discrets, ces investisseurs sont pourtant devenus des acteurs incontournables de l’écosystème du private equity. À l’heure d’un entre-deux-tours où la stabilité indispensable au cycle de l’investissement est remise en question, Frederick Crot revient sur les préoccupations du monde des family offices dans une actualité mouvementée.  

 

Dépassant de 40 % la taille de son précédent fonds, Latour Capital IV se dote de plus d’une cinquantaine d’investisseurs institutionnels avec le soutien de ses souscripteurs historiques. De nouveaux co-investisseurs européens (en Allemagne, Belgique, Espagne, Finlande, Italie et Pays-Bas, ainsi qu’en Suisse et au Luxembourg), y compris nord-américains et japonais viennent s’ajouter.

Pour créer de la valeur à long terme, il faut croître régulièrement à plus de 7,5 % par an. La croissance est un choix à cinq niveaux : choix de l’ambition, choix des terrains de jeu, choix des modèles d’activité et de leur niveau d’investissement, choix de la vitesse et de l’ampleur, choix de la culture et de l’organisation. Ces choix supposent de l’audace et une prise de risque qui doit être évaluée et suivie.

Alexandre Margoline et Anna Vershebeniuk intègrent Lazard Elaia Capital en tant que Partners aux côtés de Xavier Lazarus, cofondateur et Managing Partner d'Elaia. Dotée d’une large expérience en capital venture, late stage et private equity, cette équipe complémentaire investira dans des entreprises technologiques à l’échelle européenne avec des investissements majoritaires et minoritaires / en growth et buy-out.

Récemment classé comme le premier fonds européen et numéro deux au monde avec ses 700 participations et 27 milliards d’euros d’actifs sous gestion, Bpifrance se positionne comme un acteur incontournable du capital-investissement en Europe. José Gonzalo directeur exécutif en charge du capital-développement, revient sur le succès de la thèse d’investissement du fonds.