Figure emblématique du private equity, Philippe Poletti annonce la création d’un family office baptisé PolEquity. La nouvelle structure s’est dotée d’une enveloppe de 120 millions d’euros réservés au small-cap.
Après une année 2022 particulièrement dynamique, le léger ralentissement de l’activité économique française se fait, comme prévu, aussi ressentir dans le capital-investissement en 2023. Malgré cela, les indicateurs se présentent sous de bons auspices et les motifs de satisfaction pour le marché sont nombreux.
Le fonds de capital-risque Balderton annonce deux nouveaux millésimes en early stage et growth pour un total de 1,3 milliard d’euro, confirmant l’intérêt pour le marché européen de l’investisseur britannique, qui compte dans son portefeuille Revolut, Photoroom et GoCardless.
Nouvelle arrivée chez Barclays. La banque d’investissement annonce la nomination d'Arnaud Bouyer au poste de responsable de la banque d'investissement pour la France, La Belgique et le Luxembourg. Il prendra ses fonctions en septembre 2024.
Selon un sondage réalisé par la fondation Jean-Jaurès, seules 46 % des personnes interrogées considèrent le travail comme une source d’épanouissement. Plus de la moitié le perçoit comme une contrainte. Dans cette actualité RH marquée par les thématiques du « quiet quitting » ou de « grande démission », force est de constater la grande stabilité et l’investissement sans faille des équipes de direction des participations de fonds d’investissement.
Elina Berrebi, cofondatrice et associée du fonds d’investissement Revaia, est une figure incontournable de l’investissement growth en Europe. Passionnée par l’innovation, elle accompagne la croissance des champions du secteur, ce qui l’amène à nous recommander The Singularity is Nearer: When We Merge with AI, de Ray Kurzweil.
Moins cher, plus souple, plus performant : l’affacturage est toujours le plus intéressant des financements court terme. Mais pour pouvoir être déployé au maximum de ses capacités et au moment le plus opportun, il doit être étudié très en amont. Ce faisant, l’actionnaire peut choisir son objectif : financement de sa croissance – externe ou organique – ou remontée de dividendes.
