Lorsqu’ils ne sont pas associés, la plupart des avocats exercent en libéral sous le contrat de collaboration. Une exception existe cependant : le salariat. Cette tranche de population tend à se raréfier : les cabinets d’avocats qui le pratiquaient de manière traditionnelle, ceux qui sont affiliés à un réseau d’audit, basculent peu à peu vers le régime libéral. Un mouvement qui n’est pas sans conséquences sur la situation financière des avocats concernés.
Le logiciel de gestion d’entreprise Holded arrive en France, un déploiement dirigé par Gaël Besnier qui devient le porte-parole en charge de ce nouveau marché.
Concentrant plus de la moitié des avocats français au sein de son barreau, Paris offre de multiples opportunités de carrière aux professionnels du droit. Les rémunérations restent très attractives, même si certains avocats sont prêts à y renoncer pour partir s’installer en province.
Toute personne physique ou morale peut être apporteuse d’affaires auprès d’une tierce personne. Mais chez les avocats, cette personne ne pourra pas être rémunérée pour cela. La situation divise la profession qui vient de décider de remettre le sujet sur la table.
Les marchés juridiques anglais et américains, souvent assimilés, ont, au début de la crise, réagi différemment au déficit de demandes de droit. Alors que les premiers ont eu recours aux fonds de trésorerie et à l’assistance gouvernementale, les seconds ont coupé dans les dépenses et les salaires. Mais le prolongement de la crise rapproche les deux modèles et promet un renouvellement du monde juridique anglo-saxon.
Huit mois après le début de la crise sanitaire couronnée par le confinement de tout le pays, le barreau d’affaires se montre particulièrement résistant. Sauf nouvelle catastrophe imprévisible, les cabinets d’avocats devraient tenir la barre les prochains mois, et cela grâce à leur réactivité face à une situation inédite. Revue des actions menées et des erreurs à ne pas reproduire.