C’est le nombre de signatures rassemblées sur la plate-forme lanceuse de pétitions Change.org contre le statut de « première dame » proposé par le Président de la République.
À la tête de l’association européenne dédiée à la propriété intellectuelle Union IP, Jean-Yves Plaçais décrit les leviers qu’il actionne pour fédérer les différents experts de cet univers à l’échelle communautaire.
Sous le feu des projecteurs depuis son élection à la tête de la commission des lois, Yaël Braun-Pivet est l’une des figures de proue de la majorité. Ancienne avocate et responsable de centres d’accueil des Restos du cœur, cette femme d’action et de conviction bouscule les règles établies. Portrait d’une députée des temps modernes.
C’est le montant du contrat signé entre l’éditeur français de logiciels industriels Dassault Systèmes et le constructeur aéronautique américain Boeing, comme révélé par le Figaro dans son édition du 25 juillet.
Après l’annonce du gel des budget de chaque ministère, les juristes, et le sénateur Philippe Bas en tête, cherchent des solutions pour que la Chancellerie échappe à la règle afin de sauver l’institution judiciaire de la faillite.
Agriculteurs, chefs d’entreprise, avocats, médecins, sage-femme ou encore mathématicien ont fait leur rentrée officielle au Palais-Bourbon il y a quelques semaines. Exit les professionnels de la politique. Exit aussi les élus vieillissants. Rajeunie de six ans, l’Assemblée nationale s’offre cette année une véritable cure de jouvence. Exit enfin les partis traditionnels. La droite et la gauche républicaines, plus affaiblies que jamais, ne disposent dorénavant que de 160 sièges, contre plus de 500 en 2011.
Agriculteurs, chefs d’entreprise, avocats, médecins, sage-femme ou encore mathématicien ont fait leur rentrée officielle au Palais-Bourbon il y a quelques semaines. Exit les professionnels de la politique. Exit aussi les élus vieillissants. Rajeunie de six ans, l’Assemblée nationale s’offre cette année une véritable cure de jouvence. Exit enfin les partis traditionnels. La droite et la gauche républicaines, plus affaiblies que jamais, ne disposent dorénavant que de 160 sièges, contre plus de 500 en 2011.