Manuel Valls a annoncé sa candidature à la primaire de la gauche, démissionnant de son poste de Premier ministre dans la foulée. Ses premiers adversaires, peut-être les plus coriaces, viendront de son propre camp.
Le président de la République ne sera pas donc pas candidat à sa succession. Les commentaires oscillent entre condescendance ou attaques en règle, hommages et soulagement, mais comme Nicolas Sarkozy ou Alain Juppé, François Hollande quitte l’arène politique. Le cirque, lui, continue.
Deux jours après avoir terrassé ses adversaires de la primaire, François Fillon dresse les contours d’une équipe qui devra le porter au plus haut sommet de l’État, sans grande nouveauté.
Si depuis le début de la campagne, il affiche un programme résolument tourné vers le monde de l’entreprise, le vainqueur de la primaire de la droite et du centre devra poursuivre le travail de ralliement pour conserver ce soutien crucial en mai prochain.
Rénover la démocratie et améliorer son fonctionnement. Tel est l’objectif de ces férus du Web qui, depuis quelques années pour certains, quelques mois pour d’autres, s’emploient à mettre la technologie au service de la démocratie.
Ex-Premier ministre, président du groupe de suivi sur le retrait du Royaume-Uni et de la Commission des affaires étrangères, de la Défense et des Forces armées du Sénat, Jean-Pierre Raffarin en appelle non seulement à une refonte de l’Europe et de la démocratie, mais aussi à une nouvelle forme de gouvernance politique : plus tournée vers la « pensée » que l’immédiat. Paroles de sage.